candidus Ça fait petit bras par rapport à l'Ukraine qui a perdu 20 millions d'habitants.
Ajoutons, sur un autre plan, que Maman Russie ne fait rien d'autre que reprendre chez elle, sous ses ailes, ses petits maltraités par une marâtre haineuse. Pour le moment, déjà sauvés : les pays de Lougansk, Donetsk, Kherson et Zaporojié. Comment : par la libre autodétermination de ces quatre enfants-là eux-mêmes, au suffrage universel, selon l'article 1er de la Charte des Nations unies. Ce fut en vertu du droit international. En effet, pourquoi voulez-vous que, Mère indigne, la Russie laisse sans fin ses quatre enfants-là subir la persécution infernale du régime de notre fabrication ?
Suivront à terme, méthodiquement et sans hâte, quelques autres enfants russes encore otages : les pays d'Odessa, de Nicolaïeff, le bloc Soumy-Kharkov-Dniepropetrovsk (bloc où l'Opération spéciale est désormais entrée et "travaille" en profondeur __ riposte calme, inexorable, purement militaire, aux attentats terroristes de début juin téléguidés par nous), et enfin, last but not least, ce sera le point d'orgue : le pays russe de Kiev.
Tout dans la lenteur méthodique.
À l'origine, avant 2014, l'année de notre déclaration de guerre sournoise par le Crime de Maïdan, la Russie ne voulait absolument rien du tout de l'Ukraine. Maintenant, c'est trop tard. Professeur US John Meersheimer :
"Si l'on m'avait écouté, l'Ukraine serait aujourd'hui restée intégrale et entière."