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Ajoutez-y que c'est devenu une tarte à la crème nauséabonde, sans cesse régurgitée à mesure de notre haine antirusse frustrée. Chaque fois que la douleur de la frustration atteint un pic, on régurgite de nouveau cette tarte à la crème.
C'est un thermomètre des douleurs de notre haine.
Deuzio, vous savez parfaitement que "techniquement" c'est impossible, ficelés que nous sommes par toutes sortes de conventions internationales contraignantes.
Troizio, si jamais nous passions outre, toutes les autres puissances mondiales qui ont de l'argent placé chez nous, qui sont en train de nous observer à la loupe, sauront comment elles seraient traitées en cas de conflit futur avec elles, prendront les dispositions réglementaires qui s'imposent, le retrait de leurs avoirs chez nous, le blocage des nôtres chez elles, et toutes mesures de rétorsion contre nous.
Bref, laisser courir cette tarte à la crème moisie. C'est l'une des rengaines favorites de notre propagande.
