Salut l'artiste
Un sacré metteur en scène s'en est allé !
On retiendra ses films mythiques, buffet froid, tenue de soirée, les valseuses !
Du cinéma haut de gamme, des dialogues qui ont marqué, et qui vont nous manquer !
Salut l'artiste et mercy !
Vraiment
hub'

marcopolo
Diantre
C'est votre avis, que je respecte, cela dit, il a marqué le cinéma français avec des films-cultes !
Après, on apprécie ou non, moi, je voulais juste saluer son départ !
Evidemment
hub'

      Une réputation surfaite !
      Je préfère de loin soit un Claude Chabrol, soit un Étienne Chatilliez.
      Mais en terme de réputation surfaite, on a bien pire que Bertrand Blier. comme par exemple Claude Lellouch.
      Franchement si Bertrand n'avait pas été le fils de Bernard aurait il eu le même succès ?

        Ce n'était pas mon réalisateur préféré, mais c'était un réalisateur de talent !

        Zorbec-le-gras Assez d'accord avec Marcopolo.
        Ce Blier là est surévalué .

        surévalué, comme surréaliste.
        Ce Blier n'était pas sur les sentiers battus.

        David Lynch aussi, était hors des codes.
        Respect.
        On n'est pas obligés d'encenser ces gaillards, mais quand même...
        De plus tous ceux là, ont fait pas mal d'émules.
        Les grands cinéastes US rendent souvent hommage, ou des clins d'oeils à nos frenchies.

        Melville, avec son chapeau américain, en avait lui aussi subjugué plus d'un.

            De mémoire, car les films de Blier ne passent pas en boucle à la télé. J'ai un souvenir positif de Buffet froid, par contre , je n'ai jamais compris le succès des Valseuses.
            J'ai toujours un peu de mal avec les artistes qui se font un nom avec une 1ère œuvre qui fait de la provocation pour la provocation ......et bien plus de mal, avec les critiques qui encensent cette provocation

              marcopolo
              Fichtre
              Sapré marcopolo, vous êtes au courant des "problèmes" actuels de "gégé" (depardieu) et donc du fait que "ses" films ne sont plus en odeur de sainteté sur notre "prude" télé "aux ordres" !
              Après, chacun est libre de son jugement, permettez moi de pas être OK avec le votre, mais je vais pas argumenter, ce serait du temps perdu !
              Evidemment
              hub'

                  marcopolo Moi Blier, j'aime bien 100000 $ au soleil avec Ventura et Bébel. Du bon nanard
                  C'était avant l'invention du politiquement correct.

                      candidus si c'est de Blier père dont tu parles, alors ma liste de films est longue .....à commencer par le 36 quai des orfèvres de Cluzot..

                          hubert-de-montcalm
                          Les frasques sexuelles de Depardieu, j'en ai entendu parler déjà il y a 25/30 ans, par un figurant dans un de ses films. C'était à ce moment là qu'il aurait fallu agir,....... pas en boycottant stupidement ces films en 2025.

                            marcopolo Évidemment.
                            Je ne savais même pas qu'il y en avait un autre.

                              Jean-Pierre David Lynch aussi, était hors des codes.

                              Évidemment vous aimez tout ce qui est transgressif, Jean-Pierre.

                              Être gauchiste impacte tous les niveaux.

                                  marcopolo Avec Clouzot, et non Cluzot. Et pas "36 quai", mais "Quai des Orfèvres" tout court.
                                  Et en 1947, s'il vous plaît... C'est-à-dire une autre classe et une autre tenue que la décadence soixante-huitarde postérieure.
                                  Un chef-d'œuvre de chef-d'œuvre. Avec Louis Jouvet, et le petit Bertrand déjà gros de kilos en trop mais bon acteur.

                                  Le père comme acteur avait du talent. Le fils très profitant du nom de son père, je n'en sais rien et m'en porte très bien.

                                    Bien sûr, s’agissant du père je voulais dire « Bernard », pas Bertrand. Enfin quand je dis "petit", cela veut dire jeune.

                                    Et ce que je voudrais dire encore, c'est que le père était très doué, aussi, pour le comique paradoxal. C'est-à-dire quand il paraît se fâcher et menacer dangereusement, par exemple face à Louis de Funès dans le "Grand Restaurant", film avec quelques trouvailles comiques mais gâté par la réalisation décousue, voire absurde, de J. Besnard qui aurait mieux fait de ne pas se mêler de cinéma. Le film est parfois "sauvé" par la présence de Bernard Blier et De Funès. Mais même les bons acteurs deviennent faibles quand un réalisateur médiocre ne sait pas les diriger.