Score 0-0
Donc, match plus que nul, affichant un 11 israélien limité techniquement grâce à qui la rencontre aurait pu servir de faire-valoir à une équipe de France qui ne prend même plus la peine de faire illusion avec un talent qu’elle n’a pas.
L’a-t-elle jamais eu durant l’exercice d'un Deschamps qui voit sa période bénie des dieux du foot comme le résultat
d’une incompétence aboutie à la faveur de performances « heureuses » qu’un fan de base cocardier attribuera à la réussite, alors que c’était juste de la chance...La chatte à DD ?
Voilà pour le volet sportif.
Et entre gazon tondu et Gaza rasé, le terrain politique aurait été confiné sur les gradins douillets des tribunes ?
3 chefs d'état « has been » venus pour la photo, posant sur un même pied, toujours aussi nickelé dans la posture solennelle de l’autorité présidentielle.
Une poignée de supporters qui, après avoir affiché haut la couleur de leur sympathie, et côtoyé hier soir de trop près la susceptibilité épidermique d’un ennemi déclaré, a fini par provoquer à l’insu d'un plein gré assumé, quelques mouvements timides de hooliganisme cultuel.
Et quelques pacifistes amoureux transis du ballon rond qui ont préféré déplorer les incidents collatéraux survenus à l’intérieur du stade que l’indigence d’une équipe de France à la débandade.
Finalement, ni héros, ni martyrs auxquels les médias auraient aimé décerner en fanfare, qui le prix orange de faiseurs de paix, qui le prix citron des semeurs de merde...
Un fait anecdotique, en somme.
Alors déçus ? 😇