Le député écologiste Julien Bayou se met en retrait après une plainte pour violences psychologiques
Paris (AFP) - La vague MeToo a balayé une nouvelle fois le député écologiste Julien Bayou : il a annoncé jeudi qu'il se mettait en retrait de son groupe et de son parti EELV, comme il l'avait déjà fait en septembre 2022, après une plainte déposée par son ex-compagne pour "violences psychologiques".
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Je pourrais me réjouir de voir pris à son propre piège un député appartenant à une famille politique qui prétend donner des leçons en matière de lutte contre les violences faites aux femmes.
Mais en fait, non : ce qui se passe là est très inquiétant. La justice se fait maintenant sur la place publique, sur les les réseaux sociaux, à coups d'accusations publiques. La "cancel culture" s'impose alors aux accusés, sans autre forme de procès.
Qu'est-ce qu'une "violence psychologique" ? La violence physique, je vois à peu près, mais la violence psychologique ? Parle-t-on d'une entreprise de harcèlement durable ? Ou bien d'une simple engueulade au sein d'un couple qui se dispute ?
En vérité, si violences psychologiques il y a dans un couple, les femmes en sont souvent les premières coupables : scènes de jalousie incessantes, chantage, etc. Il y a beaucoup de cas d'hommes qui se suicident à cause de leurs femmes mais personne ne cherche même à les compter, ils sont juste ignorés. Par contre, la moindre engueulade sert de prétexte à ces femmes pour balancer des accusations de "violences psychologiques".
Ouvrir ce dossier est maintenant nécessaire, quand on sait que le féminisme a envahi toute la société et que le machisme n'est plus là pour l'équilibrer.