La directrice de l'IGPN a récemment accordé un entretien au Monde dans lequel elle reconnaît le doublement en trois ans des saisines pour corruption (de 30 à 56).
On y apprend entre autres que les criminels postent des annonces sur Snapchat, en précisant en détail le type d'informations qu'ils souhaitent acheter et la rémunération. Il s'agit donc moins de copinage à l'ancienne, et davantage de mercenariat.
J'aurais tout de même bien aimé connaître l'ethnicité des ripoux.