Nvcy

• Nous ne considérons pas l'immigration comme "la principale cause des problèmes" : c'est un stéréotype de gauche. C'est la cause de nombreux problèmes bien sûr, mais pas de tous et ce n'est pas la cause de notre refus.

  Nous constatons simplement faire l'objet d'un processus de colonisation qui fait de nous des étrangers et nous chasse de notre pays : hier des quartiers, puis des villes, aujourd'hui des régions, demain le pays.

  La vie pour nous autres autochtones est un opprobre parmi les afro-arabes, et nous la fuyons comme les blancs ont fui Détroit, comme les Boers fuient l'Afrique du Sud, comme les Pieds-noirs ont fui Alger. Pourquoi devrions-nous consentir à souffrir un crime contre l'humanité ?

  Aujourd'hui 40% à 50% des naissances sont d'ethnie non-européenne, et cela explose brutalement. Ce n'est pas notre peuple. Nous voulions vivre dans un pays français, pas dans un pays afro-arabe. Nous devenons étrangers, nous sommes massacrés chaque semaine, et nous sommes chassés.

• Une "éducation assimilante" ? Ah ! L'assimilation n'est jamais passée par les hussards noirs, sauf pour finir le boulot avec des voisins bretons qui partageaient nos racines celtiques et indo-européennes, notre apparence physique, et intégrés depuis des siècles au royaume de France. Des Bretons qui souhaitaient devenir français à une époque où nous étions le phare du monde.

  L'assimilation passe d'abord par l'environnement. Voilà pourquoi vous ne pouvez assimiler qu'une petite minorité vivant parmi vous, alors que les Afro-arabes représentent aujourd'hui les trois quarts des naissances en IdF, et la totalité dans de nombreuses villes.

  Même en stoppant toute colonisation tout de suite, le différentiel de fécondité fait que nous serions une petite minorité demain (40% max). Ils ont très bien compris qu'ils n'ont ni à s'assimiler ni à s'intégrer. En fait ils considèrent que c'est à nous de nous intégrer.

  Enfin vous ne pouvez pas assimiler des gens qui ne nous ressemblent pas. Quand on n'a pas la même gueule, il y a un "eux" et un "nous". Alors on vit séparément, et donc on a des cultures séparées. Si vous ne me croyez pas, considérez vos choix résidentiels et professionnels. Il y a des entreprises françaises, des entreprises arabes, des entreprises africaines, des entreprises juives, des entreprises homos, des métiers masculins, et des métiers féminins.

• Concernant la délinquance, l'idée de l'éducation ne tient pas : l'état déploie deux fois plus de profs par élève dans les territoires coloniaux, la politique nationale de la ville accorde de larges dotations sociales, éducatives, culturelles et architecturales à ces quartiers, et les colons vivent surtout en IdF où les opportunités éducatives et professionnelles sont immenses. Comparez avec les zones rurales de province qui ne verront jamais rien de tout cela.

  J'ai grandi dans deux cités populaires voisines, l'une française et sans problèmes, l'autre afro-arabe où vivaient les problèmes. La seconde avait pourtant une plus grande diversité sociale puisque nombre de ces colons étaient au bled des instituteurs, avocats, et autres.

  Le vrai problème est culturel : ces jeunes colons ne tombent pas dans la délinquance faute d'avoir trouvé un 3/8 chez Renault, mais parce qu'ils rêvent la vie Scarface : tout prendre par la force et tout de suite, le respect, les femmes, les bagnoles, le fric. Ajoutez à cela la tendance culturelle à considérer comme légitime et donc moral de voler et frapper les sales Français, puisque nous sommes de sales Français.

  Ajoutons qu'aux USA, parmi le décile le plus pauvre, les noirs ont 200x plus de risques de commettre un homicide que les blancs - à environnement urbain comparable. En fait le niveau de revenus n'a aucune incidence sur le taux d'homicides des blancs.

• Concernant l'éducation, vous noterez que depuis plusieurs décennies les résultats de PISA ne cessent de chuter même en l'absence de réformes (sauf cette stupide semaine de quatre jours). Quelle peut être la raison de cette chute apparemment sans raisons ? Je propose l'africanisation.

  Premièrement les pays subsahariens ont un QI de 60-70, les pays nord-africains de 80+. Certes, le QI est aussi affecté par l'environnement, mais il l'est aussi par les gènes. Il n'y a aucune raison pour que tous les peuples aient la même distribution de potentiel intellectuel.

  Deuxièmement les conséquences culturelles sur l'éducation : le cours est trop souvent inaudible dans les classes afro-arabes, car on y respecte peu l'instruction, car le prof est un sale Français et un représentant de la sale France, et car écouter le cours est un truc de faible. L'éducation, c'est pour les filles. Le respect des intellectuels est un trait indo-européen, pas universel.

  Plus généralement cette africanisation affecte tous les pans de la société : regardez l'économie des territoires colonisés, leur culture, leur société, leur éducation. A mesure que leur poids politique, culturel et médiatique grandit, cette africanisation touche tout le pays. Les mêmes causes entraînent les mêmes conséquences, la France laisse la place à un pays africain. Les profs ont appris à se taire à force d'être assassinés.

• Vous propose en substance de faire comme aujourd'hui mais en plus efficace. Or cela fait cinquante que le problème existe, empire et s'étend, ne croyez-vous pas qu'en cinq décennies on a testé de nombreuses approches différentes dans tous les domaines ? Mais un peuple afro-arabe engendre un pays afro-arabe.

• La droite s'est toujours fourvoyée avec l'identité en l'assimilant à la culture. L'identité est d'abord sociale, c'est ce qui fait qu'on est un "eux" ou un "nous". Quand on n'a pas les mêmes tronches et pas les mêmes prénoms, on est un "eux".

  Ensuite vous pouvez bien me tartiner autant de pages lyriques que vous le souhaiterez avec leurs "valeurs", leurs "droits de l'homme", leur "tradition d'accueil" et le discours de Rénan ; peu m'importe : je ne veux pas être sacrifié, colonisé, chassé, et effacé au nom de totems sacrés.

  Nous sommes sacrifiés au nom d'une religion judo-christo-progressiste colonialiste instituée en théocratie, qui considère les Français et Africains comme des unités interchangeables. En tant que bouc émissaire je n'adhère pas à leur religion.

Nvcy
Moi l'immigration je m'en fout à partir du moment ou ils deviennent français. Même la criminalité je m'en accommoderait mieux si elle était française: sortir le couteau et planter pour un oui ou pour un non c'est pas français. Vivre en parasite sur la société en arnaquant les allocs ou autre c'est pas français non plus.
Je parle de la culture bien sur, la nationalité administrative distribuée à n'importe qui par un Etat imbécile ne veut plus rien dire.
Maintenant si vous laissez rentrer plus d'étrangers que vous fabriquez des français il y a un stock d'étrangers qui se cré, et qui occupe une partie de notre territoire. C'est ça le problème, c'est comme si on avait donné des portions de notre territoire à l'étranger, non seulement sans combattre mais à nos frais.
Enfin "on", je veut dire "eux", nos élites progressistes stupides.
Après l'école elle peut aider en aidant à fabriquer des français. Mais bon quand il y a submersion c'est plus possible, comme l'a dit je ne sais plus qui: on assimile des individus, pas des peuples.
D'autant que cette école s'est mise à apprendre aux étrangers que la France c'était un pays de merde, raciste, esclavagiste, colonialiste, collabo, antisémite, et à cracher sur notre histoire glorieuse, allez donner envie à des gamins de devenir français avec ça. L'"inclusivité" qu'ils appellent ça, j'ai jamais trop compris le concept. Soit c'est du sabotage délibéré soit c'est un truc de semi-demeuré, un truc de progressistes. Ils transforment en merde tout ce qu'ils touchent, l'école ne leur a pas échappé.
Voilà on a fait le tour je pense.

paulau

C'est cela culture ?

Et ces gens là ont l'amour de notre président ?

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