france2100 Vous affirmiez que le code génétique fait l'homme, mon argument démontrait que ce n'est pas le cas avec l'exemple du cheveu, vous répondez que derrière le cheveu il y a un homme. Donc le fétus est un humain parce qu'il est un humain ?
La discussion est difficile avec vous dans la mesure où vous ne comprenez pas ce que je vous réponds. Soit vos n'examinez pas suffisamment, soit vous agitez des problèmes philosophiques sans vraiment les comprendre. Pour répondre à votre 4ème point, il s'agit de la raison de ma condescendance, qui traduit de l'agacement.
Vous tentez maladroitement de poser la question suivante : qu'est-ce qui fait l'homme en tant qu'homme ? Sachez, qu'elle est relative à l'admission de formes, ou essences. En l'absence de preuves, je m'en tiens à la réponse précédente, tout en sachant ce que cela peut impliquer. Je ne suis pas non plus si satisfait que cela de cette réponse ; si j'analyse bien toutefois, pour des raisons étrangères au savoir, comme les fameuses "conséquences".
france2100 C'est vous qui employez le terme sacré : les sondés veulent simplement protéger ce droit par la constitution. Ou du moins répondent-ils oui à la question posée, en sachant très bien que c'est sans conséquence et que, s'ils répondaient non, alors la petite sondeuse les soupçonnerait d’être d'odieux suppôts du patriarcat.
Nouvel exemple : j'ai aussi donné la raison pour laquelle je parlais de « sacré ». Peut-être s'agit-il d'une erreur, mais encore faut-il vraiment me répondre, plutôt que de taper encore à côté.
Non, ce n'est pas sans conséquences d'inscrire ce droit dans la constitution : 1- nous l'inscrivons dans la constitution car nous considérons qu'il s'agit désormais d'un droit « fondamental » ou « naturel », et que notre cité, pour disposer d'une constitution droite doit le protéger, que ce n'est pas un droit comme un autre ; 2- aujourd'hui cela fait débat, mais les défenseurs de cette mesure savent très bien qu'il en va ainsi à chaque fois qu'il est question d'une mesure en matière de mœurs, et qu'une bonne partie des récalcitrants finiront bien par avaler la chose ; je ne parle même pas des générations futures qui auront grandi avec ce fait.
Pour ma part, devinez quoi ? Comme je vous l'ai dit ailleurs: bien-fondé ou non, en tant que sujet, je m'y résigne. Je ne suis pas non plus trop étonné. Regardez : le débat en juin 2022.
https://forum-politique.org/d/145082-usa-le-droit-federal-a-lavortement-pourrait-etre-supprime/92
https://forum-politique.org/d/118884-l-avortement/1401