Une vieille antienne des mouvements féministes est que le pouvoir cherche à contrôler le corps des femmes - une forme de biopouvoir. Cela m'a toujours semblé en partie exagéré puisque les politiques natalistes concernent aussi les hommes, et que l'homosexualité fut davantage combattue chez les hommes. Mais passons outre et prêtons-nous au jeu. En URSS la femme devait avant tout être une productrice . Ce fut surtout vrai du début jusqu'à la fin de la guerre, mais cela persista jusqu'à la fin, avec une forte féminisation de l'industrie (50%). Notons tout de même un certain virage nataliste partiel durant les dernières décennies soviétiques. Aux USA durant la gm2, la femme devait être une ouvrière. On se souvient notamment de Rosie la riveteuse , devenue icône lesbienne par la suite. Elle devait aussi apprendre à faire pousser de la nourriture ou devenir infirmière. Sous les régimes fascistes, les femmes devaient faire des enfants , d'où les politiques natalistes, et encourager les hommes. En Allemagne elles devaient aussi être sportives pour se rapprocher de l'idéal aryen (esthétisme et hygiénisme), et aussi pour remporter des compétitions et prouver la supériorité raciale allemande. Et aujourd'hui, que dit l'imagerie occidentale de ses attentes ? La femme occidentale se voit assigner deux tâches : devenir une femme forte pour prendre le pouvoir aux mâles, et s'accoupler à un noir pour éradiquer la race blanche et accoucher de l'humanité 2.0.

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Ce que le pouvoir attend des femmes

france2100

Une vieille antienne des mouvements féministes est que le pouvoir cherche à contrôler le corps des femmes - une forme de biopouvoir. Cela m'a toujours semblé en partie exagéré puisque les politiques natalistes concernent aussi les hommes, et que l'homosexualité fut davantage combattue chez les hommes. Mais passons outre et prêtons-nous au jeu.

En URSS la femme devait avant tout être une productrice. Ce fut surtout vrai du début jusqu'à la fin de la guerre, mais cela persista jusqu'à la fin, avec une forte féminisation de l'industrie (50%). Notons tout de même un certain virage nataliste partiel durant les dernières décennies soviétiques.
Aux USA durant la gm2, la femme devait être une ouvrière. On se souvient notamment de Rosie la riveteuse, devenue icône lesbienne par la suite. Elle devait aussi apprendre à faire pousser de la nourriture ou devenir infirmière.
Sous les régimes fascistes, les femmes devaient faire des enfants, d'où les politiques natalistes, et encourager les hommes. En Allemagne elles devaient aussi être sportives pour se rapprocher de l'idéal aryen (esthétisme et hygiénisme), et aussi pour remporter des compétitions et prouver la supériorité raciale allemande.
Et aujourd'hui, que dit l'imagerie occidentale de ses attentes ? La femme occidentale se voit assigner deux tâches : devenir une femme forte pour prendre le pouvoir aux mâles, et s'accoupler à un noir pour éradiquer la race blanche et accoucher de l'humanité 2.0.

stm

france2100
Un point supplémentaire, les femmes occidentales ne doivent pas faire d'enfants afin de "sauver la planète".

candidus

france2100 Si les noirs s'accouplent à des femmes blanches, la race noire va disparaître.

france2100

candidus
Pour les progressistes il faut détruire tous les peuples, races, nations, cultures, sexes et espèces. Mais surtout les sales blancs.

Accessoirement, le rapport démographique entre blancs et noirs fait que la miscégénation aboutirait de toute façon à un peuple noir. Avec le temps les allèles minoritaires, blanches, disparaîtraient à moins d'une mutation. C'était d'ailleurs le fondement des politiques de blanquiamento menées en Amérique latine au XIX-XXè via l'encouragement de l'immigration européenne. Cela étant je crois plutôt à l'exil de la majorité des blancs vers d'autres pays, et donc une simple reconfiguration des territoires.