_Souvenez-vous, après les attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan, le responsable du renseignement intérieur, un nommé Patrick Calvar, expliquait aux Parlementaires que les plus dangereux pour la sécurité de la République, ce n’étaient pas les islamistes, mais l’extrême-droite qui risquait de provoquer la guerre civile en refusant de se laisser égorger (résumé rapide, mais réel).
Huit ans plus tard, on est dans le même scénario. On sort d’émeutes qui vont coûter des milliards aux Français, et la priorité de ce régime [....] est de s’acharner sur les Français qui ont relevé la tête, et ont soutenu les forces de l’ordre face à la racaille, ou bien protégé des commerçants.
Ainsi, à Lorient, une trentaine de patriotes cagoulés, probablement des commandos des fusiliers marins, ont prêté main forte aux forces de l’ordre, et permis l’arrestation de dizaines de racailles. Suite probablement à des plaintes de la clique Plenel-Mélenchon, une enquête est ouverte contre eux.
À Angers, les anciens du groupe Alvarium, et leur animateur, Jean-Eudes Gannat, sont harcelés par les juges, suite à des plaintes de gauchistes, pour avoir défendu leur local face aux antifas, puis face aux racailles.
La préfète de Lyon paraît très fière d’avoir donné l’ordre aux policiers de disperser un groupe jugé d’ultra-droite, qui paraissait vouloir se regrouper.
Et à Chambéry, ils sont tous déchaînés contre des patriotes qui essaient de tenir la rue, et d’encourager les Français à ne pas se laisser faire.
Nous sommes dirigés par des collabos qui savent pertinemment ce qu’ils font : écraser dans l’œuf la moindre résistance patriote, et utiliser les racailles et les gauchistes pour terroriser la population française.
À côté d’eux, les adeptes du régime de Vichy, présenté comme le summum de la collaboration, étaient des petits garçons…_
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