france2100 La moitié des éditeurs et rédacteurs en chef parisiens étaient encore il y a peu d'anciens maoïstes, et ce sont les mêmes qui soutiennent aujourd'hui l'éradication des sales blancs, avec tout leur cortège d'universitaires de gauche et de grands artistes au cul international. Leurs oeuvres bénéficient d'amples financement, comme autrefois celles des Sartre et compères. Tous ces gens croient à leur folie et ne s'adressent pas aux humbles.
Je ne sais pas si la moitié des éditeurs et rédacteurs en chef Parisiens étaient maoistes car je ne les fréquente pas, contrairement à vous, pas + que je ne sais si hitler, torquemada, mussolini marx et lénine croyaient sincèrement en leur idéologie ou si celle-ci n'était qu'une voie d'accession au pouvoir mais je sais que tous ces régimes (on peut enlever celui de la Reine de Castille et le Roi d'Aragon car là les schémas n'ont rien à voir) ont suscité l'adhésion des masses sans qui ils n'auraient pu même exister.
Vous parlez de Mussolini, tout d'abord il n'a pas pris le pouvoir grâce à ses marcheurs qui ont été stoppés je le rappelle. Cela a été une des dernières étapes ayant permis son avènement mais si le roi l'a appelé au gouvernement, c'est avant tout du fait de l'influence forte de ses fascistes parmi ET les élites économiques ET parmi le peuple. De ce fait celui-ci craignait pour sa "survie" s'il décidait de stopper par la force l'irrésistible ascension de son mouvement bénéficiant d'un tel soutien.
Il en est de même pour hitler qui doit autant sa prise de pouvoir à une élite composée d'acteurs économiques importants et de quelques intellectuels, qu'aux législatives de 33 (et donc au soutien du peuple ayant adhéré à ses idées).
Il fut un temps où l'assentiment des peuples ne comptait pas. Le roi gouvernait et écrasait la masse sous le poids de ses décisions sans se soucier de ses ressentis et, au besoin, réprimait avec férocité les révoltes qui intervenaient (maillotins, tuchins, cabochiens, grande jacquerie etc....), mais à notre époque contemporaine ces régimes sont invalides. Pour durer, un pouvoir a autant besoin du soutien des élites qu'il n'a besoin du soutien du peuple. Les grandes idéologies servant avant tout à séduire les masses + perméables (que les élites) et désireuses d'entendre des contes servant à enchanter leur vie, à leur faire miroiter un espoir vain et à donner un sens à la domination qu'elles subissent.