Voici quelques illustrations :
Philippot refoulé de Sciences Po par des élèves
[Vidéo] Toulouse : des antifas tentent violemment d’empêcher une conférence de Robert Ménard
Vidéo. Sophie Binet (CGT) : « Je ne souhaite pas répondre à CNews », la séquence fait réagir
Villeurbanne: incidents en marge d'une visite d'Éric Zemmour
Il est de coutume, chez les activistes d'extrême-gauche, d'empêcher leurs opposants politique de parler, de tenir meeting. Pourtant, la liberté d'expression et la liberté de réunion sont consubstantielles à la démocratie. Un démocrate digne de ce nom doit accepter que ses opposants puissent s'exprimer et tenir meeting.
Ayons à l'esprit la fameuse phrase attribuée à Voltaire (peut-être apocryphe) : "Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire". Ce n'est pas vraiment l'esprit des activistes d'extrême-gauche...
Imaginons un instant des militants RN ou Reconquête tenter d'empêcher un meeting de Mélenchon. Que ne dirait-on pas... La peste brune est de retour, le fascisme ne passera pas... Mais là, cela n'émeut pas grand-monde.
Donc dans la logique d'extrême-gauche, Zemmour, Philippot, Ménard & Co n'ont pas le droit de tenir meeting. Par contre, Rouillan, lui, il a le droit :
«Inadmissible», «à vomir»... L'intervention de Jean-Marc Rouillan à l'université de Bordeaux choque les politiques