ciceron8
Autrefois, neuf cas de dysphorie de genre sur dix disparaissaient avec une simple psychothérape et la fin de l'adolescence. Ce serait sans doute davantage aujourd'hui puisque la quasi-totalité de dysphories contemporaines relèvent d'une "simple" épidémie de maladie mentale induite par la télévision (x30 en quelques années !).
La solution pour les enfants est sans doute de se borner à une approche psychologique en l'absence de problèmes physionomiques, et de faire taire la machine à maladie mentale hollywoodienne. Les autres pourront toujours passer sous le bistouri si cela semble être la moins pire des solutions pour eux.
Quant à la façon dont la société doit traiter ces derniers : une relative bienveillance. Je veux bien les appeler "ils" ou "elle", mais je ne donnerais pas du "iel", je ne sortirais pas avec ces personnes, et je ne les laisserais pas participer à des compétitions sportives pour l'autre sexe.