marcopolo C'est tout-à-fait rassurant.
Moralité : les caprices sont toujours punis, les enfants. Cette leçon valait bien un fromage, sans doute.

5 jours plus tard

paulau
Devant ce cas je suis toujours partisan du droit de cette petite minorité a vivre en paix , mais de vouloir s'ériger en norme sociale et de faire comme d'autres groupes" discriminés" de la propagande de recrutement dans le Primaire.,

Ok pour les séances de cirque mais au cirque et en dehors du temps scolaire.
Et puis les éléphants et les lions c'est sympa.

3 mois plus tard

Théorie du genre, marxisme, Christianisme.
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"Comment ne pas s’inquiéter, en ces temps où le manque de repères se fait sentir, de l’émergence d’une nouvelle idéologie qui s’insinue lentement depuis une quarantaine d’années dans les mentalités jusqu’à s’imposer aujourd’hui dans les manuels scolaires ? La «théorie du genre» (Gender en anglais) est fondée sur l’analyse marxiste de l’histoire selon laquelle la classe des puissants lutte continuellement contre la classe des faibles. Cette théorie transpose ces relations de lutte aux relations entre homme et femme : la société que nous connaissons rabaisserait la femme de façon injuste au profit de la toute puissance de l’homme. Quelle solution à cette injustice ? La pure et simple élimination des «rôles socialement construits» de l’homme et de la femme. Il n’existerait donc pas un homme naturel ni une femme naturelle et on ne pourrait parler de caractéristiques exclusives de chaque sexe, même dans la vie psychique. En réduisant à néant ce qui relève du féminin et du masculin, on supprime les différences et donc la soi-disant lutte qui en résulte. L’homme et la femme seraient donc en tous points identiques, exceptés quelques aspects physiques. Toutes les distinctions entre les sexes auxquelles nous sommes accoutumés ne seraient dues qu’à ce que notre culture paternaliste et misogyne nous aurait inculquées.

Tout cela pourrait sembler bien anodin et ne relever que d’un changement de vocabulaire qui n’intéresse que peu de monde. Mais les conséquences de l’application au réel de cette idéologie du Genre a des effet incalculables, non seulement au niveau social, mais aussi au niveau le plus simplement humain. Un simple effort de réflexion permet d’entrevoir à quel point notre identité naturelle d’homme ou de femme est déterminante dans tout acte, même le plus infime, de notre vie humaine et à quel point notre épanouissement personnel dépend de ce paramètre essentiel. L’idéologie du Gender voudrait nous faire accepter que nous sommes culturellement conditionnés et qu’il nous faudrait nous défaire de ces carcans que sont l’identité sexuelle, la famille, la société, la religion… Parler d’un retour à l’âge primitif serait en dessous de la réalité. Cette théorie, qui nie purement et simplement les fondements de la nature humaine, est profondément déshumanisante, à l’image et à un autre niveau des idéologies totalitaires qui, au XXème siècle, ont eu pour ambition de réformer la nature humaine et l’ont finalement menée à son autodestruction.

Un certain féminisme véhicule cette idéologie au nom de l’égalité des sexes. Le noble combat des femmes pour trouver et assumer leur juste place dans notre société s’en trouve en réalité discrédité. Abolir la hiérarchie des sexes ne peut signifier abolir les différences qui sont inscrites en chacun de nous, qui nous personnalisent, nous responsabilisent vis-à-vis des autres, font de nous des hommes et des femmes accomplis, capables d’être, chacun à sa place dans une égale dignité, témoins du don de soi.

Prenons garde de ne pas renouveler les erreurs passées en se détournant du cœur des problèmes de l’humanité, en adoptant la solution de facilité de changer l’homme lui-même. « Dieu créa l’homme à son image, homme et femme il les créa », lisons-nous dans la Genèse (1, 27). L’image de Dieu, c’est bien l’homme et la femme, tous deux se complétant pour former ensemble un seul corps dans le don total d’eux-mêmes. Sans différence, pas d’altérité ; sans altérité, pas de don ; sans don, pas d’amour véritable. Les mots du tentateur au jardin d’Eden sont encore bien séduisants : «Vous serez comme des dieux» (Gn 3, 5). Soyons vigilants à préserver la création que Dieu nous a confiée pour notre bonheur."

Source : 2011, l' évêque de Luçon.

    Parait-il que le frère de Louis 14 aurait été éduqué comme une fille.

      jules Tu veux dire qu'il était manièré au point de porter une perruque et de se poudrer le nez?

      paulau

      Hormis votre dernier paragraphe (l'aspect religieux), l'agnostique que je suis partage votre point de vue.

      Se pose tout de même la question des homosexuels et de tous ceux et celles qui se sentent mal dans leur genre/sexe "officiel".
      Quelle approche proposez-vous, notamment pour les aspects souvent banals mais essentiels et pratico-pratiques, tels que les sports, les toilettes publiques etc...?
      A hommes/femmes, faut-il ajouter le genre "autres"? Cette solution permettrait de résoudre partiellement le "problème" mais ne satisferait évidemment pas tout le monde.

      M'est avis que la question restera longtemps ouverte.

        ciceron8 Pas question de se laisser piéger. Votre question n'est pas ouverte mais fermée.

          candidus Votre question n'est pas ouverte mais fermée.

          Ce n'est pas en niant les problèmes qu'on leur apporte des solutions.

            ciceron8 Ce est déjà sympa avec l'homosexualité, c'est qu'elle écarte toute problématique d'identification sexuelle.

            ciceron8
            Autrefois, neuf cas de dysphorie de genre sur dix disparaissaient avec une simple psychothérape et la fin de l'adolescence. Ce serait sans doute davantage aujourd'hui puisque la quasi-totalité de dysphories contemporaines relèvent d'une "simple" épidémie de maladie mentale induite par la télévision (x30 en quelques années !).

            La solution pour les enfants est sans doute de se borner à une approche psychologique en l'absence de problèmes physionomiques, et de faire taire la machine à maladie mentale hollywoodienne. Les autres pourront toujours passer sous le bistouri si cela semble être la moins pire des solutions pour eux.

            Quant à la façon dont la société doit traiter ces derniers : une relative bienveillance. Je veux bien les appeler "ils" ou "elle", mais je ne donnerais pas du "iel", je ne sortirais pas avec ces personnes, et je ne les laisserais pas participer à des compétitions sportives pour l'autre sexe.

            un mois plus tard

            C' est quoi la théorie du GENDER ?
            C' est une théorie qui nous dit : " Vous n’êtes peut-être pas du sexe que vous croyez ". Plus simplement si on est un homme on peut dire que cette théorie nous " casse les burnes ".

            paulau
            Qui peut bien emmener son petit garçon de 11 ans apprendre à se maquiller, porter des talons et des décolletés ? Des marâtres misandres ?!

            Autorisons donc ce stage et envoyons la protection de l'enfance récolter les noms.

            Déjà je pense qu'en plus de l'uniforme on pourrait soigner les coiffures.
            Cheveux courts pour les garçons, et surtout attachés pour les filles, contrairement à certaines photos de femmes assez horribles.