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En Mai-68, hommes et femmes voulaient « jouir sans entraves ».
Aujourd’hui, on les retrouve face à face au tribunal : les premiers accusés par les secondes de viols 5, 10, 15, 20 ans et plus après les faits, réels ou supposés, cela au point d’engendrer une haine entre l’homme et la femme, haine qui est même théorisée. Il y a désormais en effet une présomption de viol dans leurs interactions quelles qu' elles soient. Ce sont les mêmes qui prétendaient jadis s’ébattre librement.
Nous voici revenu à l' ère victorienne.