Douze mille fois qu'on s'infuse le même post. Eculé, lénifiant, consternant.
La chance de Macron est quelque part dans l'innocuité de ses détracteurs. Pendant que la populace s'intéresse aux corps des mulâtres ou à l'âge de la dabesse, Total continue à faire du gras, l'inflation galope pour doubler les marges des petits malins et la course au doliprane s'organise.
En tauromachie, en laquelle la science du leurre atteint son paroxysme, attirer l'œil vers ce qu'on veut montrer tout en le détournant de ce qu'il ne faut pas voir est un art. Ca marche pour le torerista mais aussi avec le toro.
Allons, revenons au sérieux, combien de fois Macron a touché la tête de Bappé ?