L'écriture inclusive me gêne moins que le parler inclusif qui fait mettre du "cellezéceux" à tout bout de champ.
C'est tout bonnement du sexisme, enlevant aux femmes l'évidence de faire partie des "ceux", des citoyens, des étudiants, des militants.
J'ai aussi horreur de cette manie de ramener systématiquement à leur sexe les femmes occupant des fonctions, leur niant le fait de pouvoir être des dirigeants ou des présidents.