Il y a 68 ans, les armes se taisaient en Indochine après huit ans de guerre et un siècle d'épopée française en Extrême-Orient. A des milliers de kilomètres de leurs familles, nos soldats du corps expéditionnaire français ont lutté inlassablement contre les communistes, avec un courage et un dévouement qui forcent et imposent le respect et l'admiration. Que ce soit dans la jungle, la boue des rizières, les postes isolés ou sur les champs de batailles, partout nos soldats ont combattu vaillamment, souvent contre un ennemi bien supérieur en nombre. Au cours de cette guerre meurtrière, 110.000 de nos soldats sont Morts pour la France et près de 80.000 ont été blessés tandis que des milliers d'entre eux ont subi dans les camps d'extermination Vietminh, une captivité souvent meurtrière pour la plupart d'entre eux. Sur les 40.000 de nos soldats fait prisonniers par les communistes, 30.000 d'entre eux ne reverront jamais la France. Leur sacrifice au service de la France est immense et notre devoir en tant que Français est de ne pas oublier, car nos soldats combattants d'Indochine morts ou vivants, méritent notre respect et notre admiration. En Indochine nos soldats ont toujours rempli leur devoir avec Honneur et Fidélité et porté nos couleurs dans des conditions extrêmement difficiles. Le temps n'efface pas la valeur et la dignité des braves. Les combats de nos soldats en Indochine, pour les valeurs universelles, la paix et la liberté, sont restés gravés à jamais dans la mémoire nationale. Leur sacrifice nous oblige à rester debout et libres devant la tyrannie, d'être vigilants et déterminés pour que Vive la France !

Les actualités de l'époque sur la pacification de l'Indochine (1945).

En 1945, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le conflit avec l'Empire du Japon aboutit à la désorganisation complète de l'administration coloniale française en Indochine. Le Việt Minh, mouvement nationaliste fondé par le Parti communiste indochinois, en profite pour prendre le contrôle d'une grande partie du territoire vietnamien : Hồ Chí Minh, son chef, proclame le 2 septembre 1945 l'indépendance de la République démocratique du Viêt Nam. Le Corps expéditionnaire français en Extrême-Orient (CEFEO) reprend progressivement le contrôle de l'Indochine : l'État Français repense ensuite le statut de la fédération au sein de la nouvelle Union française. Un conflit larvé se poursuit avec le gouvernement indépendantiste vietnamien, tandis qu'une solution diplomatique est en vain recherchée. Le haut commissaire d'Argenlieu suscite en juin 1946 l'autonomie de la Cochinchine ; c'est une entorse aux accords Hô-Sainteny. En novembre 1946 éclate l'affaire d'Haiphong ; ce sont des affrontements liés à un contrôle douanier. Le bombardement du port par la marine française et ses dizaines de milliers de victimes civiles rendent la paix impossible. La guerre éclate au grand jour à la fin 1946, quand le Việt Minh tente un coup de force contre les Français puis prend le maquis. Plusieurs années de guérilla opposent alors le Corps expéditionnaire à l'Armée populaire vietnamienne, force armée du Việt Minh, qui passe progressivement à une guerre de mouvement de plus en plus audacieuse. La France fonde en 1949 l'État du Viêt Nam, gouvernement central vietnamien proposant une alternative politique à Hồ Chí Minh, et le dote d'une force militaire, l'Armée nationale vietnamienne, afin de << vietnamiser >> le conflit. Le Laos et le Cambodge sont également concernés par le conflit, le Việt Minh soutenant des mouvements indépendantistes moins importants, le Pathet Lao et les Khmer Issarak.

L'armée française avec ses effectifs et ses moyens matériels (comparés à ceux qui furent plus tard ceux des Américains) a mené un combat extrêmement courageux ,soutenu par une bonne partie de la population indochinoise.Elle a donné en contre-guérilla des actions remarquables ( Un commando survivant était encore actif en 1957).. Il faut se souvenir que dans ses débuts le Vietminh fut soutenu par les Américains de l'O.S.S. ,ancêtre de la C.I.A. Dien Bien Phu fut une affaire de défaite glorieuse ,il suffit de voir le nombre de victimes communistes lancées comme de la chair à canons sur les positions françaises. Une solution d'indépendance non communiste aurait pu aboutir en 1945 avec des indochinois anciens des F.F.L. , des partisans d'une troisième force,des membres de la famille royale ?.

Rosssel Devant les sacrifices de nos soldats durant huit années de guerre en Indochine, on ne peut s'empêcher de dénoncer l'attitude scandaleuse d'une certaine gauche, qui agissait ouvertement contre notre armée. Des actes de haute trahison furent commis dans NOTRE pays contre nos soldats, au profit de l'ennemi Viet. Ces gens-là auraient dû être traduits devant des tribunaux d'exception pour intelligence avec l'ennemi, ils ne le furent jamais. La plupart des partis politiques français n'apportaient pas de soutien à la guerre d'Indochine, ils s'y opposaient fermement. Les partis de gauche organisaient des cellules anti-guerre qui propageaient une propagande massive contre la guerre. Ils organisaient des grandes campagnes de pétitions et de manifestations à travers la France tandis que les ouvriers refusaient de charger ou de décharger le matériel de guerre dans les ports. L'opinion publique française était hostile à cette guerre lointaine. Mais il y a eu pire encore : alors que les combats et le sang versé par nos soldats face aux Viets, remplissait le monde libre d'admiration, chez nous, en métropole, on fanatisait les foules contre eux, et des français oeuvrèrent au profit de l'ennemi. En effet, derrière une vicieuse propagande anti-française il y a eut de nombreux actes de sabotages et d'intelligence avec l'ennemi. Dans nos arsenaux, des français sabotaient quotidiennement des armes et des munitions destinées à nos troupes en Indochine. Les dispositifs de retard des grenades étaient supprimés volontairement et ces grenades explosaient dès leur dégoupillement dans les mains de nos soldats. Les fusils, les pistolets mitrailleurs et même les canons étaient obstrués. Les balles explosaient à l'intérieur des fusils et les obus de canons étaient sabotés. Les véhicules militaires étaient également sabotés, certains moteurs d'avions subissaient toutes sortes de sabotage. Même le porte-avions Dixmude n'échappa pas aux dégradations volontaires. Ces gens-là, véritables traîtres à la France, vouaient chaque jour nos soldats à une mort certaine. Des groupes de manifestants se couchaient sur les rails de chemin de fer afin de bloquer les trains de munitions. C'était la même chose sur les aérodromes et les quais portuaires. les acheminements de troupes et de matériels subissaient de graves perturbations, les trains et les navires étaient souvent immobilisés. Pire encore : certains de nos blessés rapatriés d'Indochine, étaient injuriés et parfois même frappés sur leurs civières. A l'Assemblée Nationale, des députés de gauche avaient exigé que la collecte publique de sang ne soit jamais destinée aux blessés d'Indochine. L'Union des Femmes françaises envoyait régulièrement au "grand frère Vietminh" des colis de médicaments comme la pénicilline, qui manquait à nos soldats qui mouraient sur les champs de bataille, faute d'en posséder. Le 6 mars 1952, un célèbre journal français envoyait le message suivant à nos ennemis Viets : << Félicitations au succès du Vietminh. Nous sommes de coeur avec lui. Nous envoyons aux troupes du Vietminh notre fraternel salut et notre témoignage de solidarité agissante. >>

Vidéo des années 1950 sur les problèmes d'Extrême-Orient.

La guerre d'Indochine fut une déroute sensationnelle de l'armée coloniale française. Bravo au général Nguyen Vo Giap, vainqueur sans conteste des impérialistes japonais, puis français et en fin de compte américain !

chevalier-du-temple Sans compter les renégats comme l'ignoble Boudarel ! ! ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Boudarel https://rage-culture.com/le-monstre-communiste-boudarel-et-le-camp-dextermination-113/ https://maitron.fr/spip.php?article17425 https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/hommage-aux-morts-francais-en-indochine-le-destin-obscur-du-stephanois-georges-boudarel-1591349050

danielle49 Ainsi parlaient les communistes ennemis de la France. Les sacrifices héroiques de nos soldats tombés en Indochine, méritent la gratitude de la France et l'admiration du monde libre.

liberté Un beau salopard de communiste, commissaire politique dans un camp de prisonniers VietMinh, tristement connu pour torturer des soldats français prisonniers. Il méritait d'être fusillé au lieu de bénéficier d'une amnistie scandaleuse.

Hommage au sergeant Georges Antoine Bourdeaux, héros de la guerre d'Indochine << Mort pour la France >> le 9 avril 1949 à Cao-Bang de la suite de ses blessures. Le sergeant Bourdeaux est né le 16 juin 1926 à Moulins dans l'Allier. En janvier 1943 alors qu'il est âgé de 17 ans, il s'engage dans les rangs des F.T.P.F. (Francs-Tireurs et Partisans Français).de l'Ile-de-France, qui font partie intégrante des F.F.I. (Forces Françaises de l'Intérieur). Il participe à de nombreuses actions contre l'ennemi, notamment, des attaques contre les troupes d'occupation allemandes avec récupération d'armes. Le 29 août 1943, il est arrêté par les allemands à Paris près de la gare Saint-Lazare à la sortie d'un café. Interné à la prison de Fresnes, il est mis au secret. Il est condamné à mort par un tribunal militaire allemand, mais finalement gracié en raison de son jeune âge. Le 14 décembre 1943, Georges Bourdeaux fait partie d'un convoi de 933 hommes déportés de Compiègne à Buchenwald où il arrive le 16 décembre. Il est libéré le 11 avril 1945 et rentre en France par avion jusqu'au Bourget. Cette vidéo qui retrace la jeune vie du sergeant Georges Bourdeaux du (1er RCP/3e REI) est un hommage à ce héros d'Indochine au destin exceptionnel ainsi qu'à ses camarades de combats. Son nom figure au Monument aux Morts de Creuzier-le-Vieux dans l'Allier.

Ce site est optimisé pour être consulté depuis un navigateur moderne dans lequel JavaScript est activé.

La guerre d'Indochine (1946-1954)

chevalier-du-temple

[supprimé] C'est votre opinion mais je ne la partage pas. La majeure partie de ces appelés volontaires étaient des idéalistes qui voulaient se battre contre le communisme. Ils ont été pour le monde libre un exemple de courage. Il est vraiment triste et injuste que dans notre ce pays, et aujourd'hui dans vos écrits, ce courage ait rencontré tant d'indifférence et d'incompréhension.

[supprimé]

chevalier-du-temple Anticommuniste féroce je suis. Il n'y a pas plus anticommuniste que moi, mais cela ne fait pas de moi un nostalgique de la colonisation. Les soldats professionnels et les appelés volontaires ont tout mon respect, mais en Indochine ils se sont battus pour une cause perdue et une patrie ingrate et cynique.

[supprimé]

chevalier-du-temple Les idéalistes ne servent généralement qu'à faire du mal.

chevalier-du-temple

[supprimé] Anticommuniste féroce je suis. Il n'y a pas plus anticommuniste que moi, mais cela ne fait pas de moi un nostalgique de la colonisation. Les soldats professionnels et les appelés volontaires ont tout mon respect, mais en Indochine ils se sont battus pour une cause perdue et une patrie ingrate et cynique.

Nostalgique de la colonisation c'est beaucoup dire, je dirais plutôt malgré le tabou dont elle fait l'objet, rendre justice à ses bienfaits. Je ne veux pas m'attarder sur les bienfaits de la colonisation française en Indochine car cela prendrait des pages, cependant, j'aimerais préciser qu'elle a permis au peuple Vietnamien d'être au niveau de la civilisation moderne et a facilité son insertion dans le concert des nations. De la même manière, d'ailleurs, que les romains ont colonisé notre pays, en lui apportant les bienfaits de la culture gréco-latine.

En ce qui concerne nos soldats, ils combattaient contre le communisme et l'aboutissement d'une certaine conception du monde. Ils avaient un idéal qui n'existe plus de nos jours, et un drapeau qu'ils défendaient avec un courage et un héroisme extraordinaires, souvent au prix de la souffrance et de la mort car pour un soldat, le sacrifice est la marque de l'Honneur. Ceux de nos héros qui sont "Morts pour la France" ne sont pas morts pour rien. Ils faisaient partie des vrais soldats qui acceptent leur sort sans broncher, un genre d'hommes qui n'hésitent pas à faire don d'eux-mémes à une cause qu'ils jugent supérieure.

La honte et le déshonneur ne revient pas à nos soldats qui ont combattus avec héroisme pour la France mais aux autorités politiques et militaires de Paris qui ont démissionnés. Le combat de notre armée contre le communisme était juste et justifié, que l'honneur et gloire lui soit rendus. Honte à cette société française sous influence communiste, qui ne s'est jamais vraiment intéressée à cette guerre et à nos soldats.

chevalier-du-temple

[supprimé] C'est une histoire ancienne qui est fausse.

On a souvent accusé les idéalistes d'être responsables de tous les maux ou presque. Ce n'est rien d'autre qu'un préjugé. Les idéalistes sont des gens qui font bouger les choses car être idéaliste, c'est agir et mettre son coeur et ses tripes pour une cause plus grande que nous. L'idéaliste obéit à un idéal, il croit à des valeurs absolues d'ordre moral, pour améliorer la société.

<< Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire >> - Albert Einstein.

chevalier-du-temple

Guerre d'Indochine - Disposition d'un barrage Viet. (1952)

Divers plans d'ensemble du champ inondé (ou marécageux) d'Indochine sous les yeux des habitants. La population locale transportant des fournitures à travers un pont. Des troupes se préparent à partir en patrouille. Troupes patrouillant dans le marais. Des péniches de débarquement sont utilisées pour aider à détruire les barrages construits à la hâte par les forces du Viet Minh pour arrêter les bateaux qui avancent sur le fleuve. Troupes plaçant des explosifs sur un fourgon. Officier et soldat tirant une charge explosive. Explosion. Rivière. Troupes se rendant à bord d'une péniche de débarquement. Bateaux de débarquement remontant la rivière.

chevalier-du-temple

Près de Hanoi, Indochine : Sélection d'originaux (scènes sélectionnées, diverses prises) pour le récit "L'Indochine combat les rouges". (1952)

chevalier-du-temple

Opérations en Indochine (1952)

Groupe d'indigènes marchant autour de la base. . Parachutistes et ravitaillement largués d'avions volant au-dessus de la base. Montage des parachutistes. Avions.volant au-dessus (Junkers 52) et largage de matériel en parachute. Détachement de troupes et de fournitures. La journaliste Brigitte Frang s'entretient avec un homme. Soldat exploitant des lignes de chemin de fer et un camion. Explosion. Jeep circulant sur la route. Les troupes minent le pont qui traverse la rivière. Le pont est en train d'être détruit. Le pont détruit. Bombardier sol-air en vol (type français) Air to Air, Bomber in flight (French type) Plan aérien : scènes de bombardement du sol en contrebas. Diverses séquences de vol. Scènes de LCT ramassant des troupes de "commando" et les ramenant au vaisseau-mère.

chevalier-du-temple

Les forces françaises construisent des chemins et récupèrent les anciennes routes pendant la guerre d'Indochine. (1952)

Les troupes françaises se déplacent sur des chemins à travers la jungle, en Indochine. Elles utilisent un bulldozer pour défricher la jungle. Les troupes françaises sur un camion avec des rails, pour réparer l'ancienne voie ferrée. Un soldat marche sur un ponceau en béton près de l'ancienne voie ferrée. Troupes françaises transportant du ravitaillement à travers la jungle. Ils traversent une zone ouverte contenant des fondations où se trouvaient autrefois des bâtiments. Des ouvriers vietnamiens débroussaillent à la machette. Un bulldozer français au travail pour réparer une vieille route.

chevalier-du-temple

Indochine : Tu Lê dans le Haut-Tonkin du 16 octobre au 23 octobre 1952.

Durant la saison des pluies, Giap renforce ses troupes et disposant de plusieurs divisions, décide de franchir la Haute Région afin de déboucher sur le Mékong et le Laos. Le général Salan donne l'ordre au 6ème BPC "bataillon Bigeard" fort de 665 parachutistes, de renforcer les postes dans les montagnes et tenter de contrer l'offensive VietMinh. Bigeard qui était alors commandant, va se retrouver face à 10.000 hommes des divisions 308 et 312.

Le 16 octobre, le 6ème BPC de Bigeard est largué sur le village de Tu Lê.

Le 17 octobre, le poste de Nghia Lo est attaquê par les Viets.

Le 18 octobre, Bigeard reçoit un message d'Hanoi : le poste de Nghia Lo est tombé, la garnison a été anéantie.

Le 19 octobre, le général de Linares ordonne à Bigeard de se replier sur la Rivière Noire mais Bigeard refuse pour attendre les hommes qui arrivent de Nghia Lo. Les Viets font mouvement vers Tu Lê.

Le 20 octobre, attaque massive des Viets qui subissent de lourdes pertes. Repli du bataillon par le col de Kao Pha. Les Viets sont aux trousses.

Le 21 octobre, le bataillon arrive à Muong Chen, les Viets passent à l'attaque, Combats.

Le 22 octobre le bataillon se remet en marche.

23 octobre, c'est l'arrivée à It Hoing. En soirée les Viets arrivent, il faut repartir.

Le 24 octobre, le bataillon arrive à la Rivière Noire. Des légionnaires attendent avec des pirogues pour traverser le fleuve. Le 6ème BPC est sauvé.

chevalier-du-temple

Giap, le petit professeur d'histoire, n'avait rien d'un militaire, pourtant, il s'est montré avoir des qualités militaires exceptionnelles. C'était aussi un organisateur hors pair réputé intansigeant. Marxiste convaincu chargé par Ho Chi Minh d'organiser la guérilla contre l'occupant Japonais. il avait étudier les luttes de partisans en Chine et en URSS. Il a fondé l'Armée Populaire Vietnamienne. Après le départ des Japonais en 1945, il va intensifier le recrutement des membres du VietMinh et diriger l'insurrection contre la France. A partir de ce moment il va recevoir une aide militaire et technique de la Chine et de l'URSS. Il va ensuite intensifier la guérilla dans le sud Annam et la Cochinchine. A maintes reprises il sera tenu en échec par nos troupes, notamment, face au général de Lattre. Malgré sa légende d'invincibilité, Giap comme comme d'autres chefs militaires avant lui, a perdu des batailles. Il fut certainement un adversaire de taille pour notre armée. C'est un homme qui méprisait la vie humaine et qui, au cours d'une interview en 1969, a admis avoir perdu un demi-million de ses soldats. L'important pour lui, c'était de chercher à écraser nos troupes par le nombre.

stm

chevalier-du-temple C'est un homme qui méprisait la vie humaine et qui, au cours d'une interview en 1969, a admis avoir perdu un demi-million de ses soldats

Pas très "peace and love" le mec.

chevalier-du-temple

Chant de notre glorieuse Légion Etrangère en Indochine << Contre les Viets >>.

chevalier-du-temple

stm Ce qu'il ne faut pas oublier, c'est que Giap fut le bourreau des Français. Il fut l'initiateur des camps de la mort Viets en Indochine et donc responsable de la mort de milliers de nos soldats dans les camps communistes. Giap est un criminel de guerre qui a organisé et cautionné la torture physique et morale de milliers de nos prisonniers. Il est responsable au second rang après Ho Chi Minh de tous les sévices perpétrés contre nos soldats.

chevalier-du-temple

Le 4 octobre 2013 le général Giap âgé de 102 ans s'éteint à Hanoi. Le lendemain 5 octobre 2013, on pouvait lire dans la presse le texte suivant : << J'ai appris avec émotion le décès du général Giap. Ce fut un grand patriote vietnamien, aimé et respecté par tout son peuple pour le rôle eminent et fondateur qu'il a joué dans l'indépendance de son pays. Alors que la France et le Vietnam sont devenus désormais des partenaires stratégiques, je salue aujourd'hui la mémoire d'un homme exceptionnel et présente mes profondes condoléances à sa famille et au peuple vietnamien >>. - Laurent Fabius - chef de la diplomatie française.

Un ministre de la République qui rend hommage à un criminel de guerre . . .

On aurait pu rajouter à ce texte des photos de nos prisonniers mourants sur des civières. Véritables squelettes rongés par la fièvre et la dysenterie, rongés par les rats et torturés par un lavage de cerveau quotidien. Epuisés dans des marches sans fin, dans la fosse aux buffles pour les endurcirs. Des soldats dont les corps ne seront jamais restitués à leur famille

On ne peut pas dissocier le tacticien militaire du responsable politique du Parti communiste indochinois, pour lequel il fut ministre de l'Intérieur et ministre de la Défense. Il est donc un des responsables des conditions inhumaines de captivité pour les combattants de l'Union Française prisonniers du VietMinh dont sur 36,979, 26.225 sont morts dans les camps d'extermination communistes, soit un taux de mortalité de 71%.

Comment un ministre français peut-il donc attribuer à Giap des qualités qui ont coûté si cher à nos soldats, les soldats de la France ? Peut-être qu'un peu de retenue n'aurait pas été superflue.

liberté

chevalier-du-temple

Le même ministre a été impliqué dans l'affaire du sang contaminé.

Mais il continue à pérorer.

chevalier-du-temple

liberté C'est vrai et il y aurait beaucoup à dire sur son implication dans ce scandale.

Ce qui semble choquant voire scandaleux, c'est qu'un ministre des Affaires étrangères de la République puisse faire l'éloge de cet assassin, aussi prestigieux fut-il dans le domaine militaire. Cet éloge est une injure aux victimes de Giap qui sont légions. Pour nos anciens combattants d'Indochine, cela constitue un acte de trahison intolérable. Il y a vraiment de quoi s'indigner d'un tel acte.

[supprimé]

chevalier-du-temple Que voulez-vous, il y eut des Chamberlain et Halifax, des Daladier et des Molotov. La déclaration de Fabius, peu glorieuse, n'est rien finalement.

chevalier-du-temple

[supprimé] Il n'en reste pas moins que l'hommage de Fabius à Giap est un outrage à l'armée française. Quand Fabius dit que Giap était aimé et respecté de son peuple, il y a de quoi s'interroger car Giap était un cacique d'un régime communiste responsable du martyre de centaines de milliers de chrétiens vietnamiens. Ce soi-disant homme exceptionnel comme l'affirme Fabius, ne reconnaissait aucune loi de la guerre, aucune convention sur les droits des prisonniers. Sa stratégie était basée sur l'anéantissement totale et sans pitié.

chevalier-du-temple

En octobre 1952, Giap, qui a subi une série d'échecs l'année précédente face à notre armée, décide de reprendre l'offensive en pays Thai. Il engage alors trois divisions 308, 312 et 316. Le 14 octobre il attaque les avant-postes de Nghia Lo qu'il capture facilement. Le 17 octobre la division 308 se lance à l'assaut des principaux postes de Nghia Lo qu'il capture après une forte résistance. C'est alors que le général salan décide de faire évacuer tous les petits postes de la région et de concentrer ses forces sur Na San qui dispose d'une piste d'atterrissage. Na San est un poste avancé de la province de Son la. C'est une cuvette entourée de crêtes qui ressemble à Dien Bien Phu. Le gênêral Salan dêcide d'y établir un camp retranché, qu'il confie au colonel Gilles. A la fin novembre, il fait transporter suffisamment de troupes et de matériel pour confronter les divisions VietMinh. Il va y acheminer 15.000 hommes et des batteries d'artillerie.

Apprenant la présence d'un important dépôt de matériel et de munitions VietMinh à Phu Doan, au nord-est de Na San, le général Salan lance une opération dont le butin sera important : 250 tonnes de munitions, 1.500 armes de tous calibres. L'attaque de Na san par les Viets se produira le 23 novembre dans la soirée. Tout de suite, les Viets tentent de s'emparer du centre de notre dispostif sans succès. Un second assaut aura le même dénouement. le 30 novemnre, 9 bataillons Viets s'attaquent aux points d'appuis à l'ouest et à l'est du camp retranché, nos soldats résistent héroiquement. Le colonel Gilles, qui ne veut pas laisser aux Viets les deux postes qui dominent la base, fait appel à l'artillerie ainsi qu'au 2ème BEP qui s'élance dans la bataille. Après sept heures de combats acharnés, le 3ème BPC reprendra la position. Du 1er au 2 décembre, Giap, ordonne l'assaut général sur Na San. Nos soldats résistent à cinq assauts successifs. Giap, qui a perdu énormément d'homnes sur le champ de bataille, admet sa défaite et retire ses divisions.

« Page précédente Page suivante »