Je laisse de côté le NPA et LO qui ne cherchent pas le pouvoir par les urnes.
Les trois partis du titre ont été laminés par la dernière élection présidentielle.
Ceux de leurs sympathisants qui croyaient encore en la gauche unie ont voté Jean-Luc Mélenchon au premier tour, d'autres, disons sociaux-démocrates ont pu choisir Macron.
De ceux qui sont restés fidèles à leur parti, l'Express ne donne les reports de voix au second tour que pour les les écologistes chez lesquels 68% ont voté Emmanuel Macron au deuxième tour, 8% ont voté le Pen et 24 % ne se sont pas exprimé ce qui montre nettement une meilleure compatibilité avec Macron et une plus forte incompatibilité avec Marine le Pen que chez électeurs de Jean-Luc Mélenchon.
Ces partis sont face à un dilemme : se jeter dans la gueule du loup Mélenchon en échange d'une poignée de circonscription, ou tenter une lente et aléatoire reconstruction tout seuls.