James Ce n'est pas bien de traiter le président de la république d'ordure.
Il est possible de le penser toutefois, mais l'écrire, au vu de tout le monde ....
C'est un délit. A quoi s'expose-t-on en insultant Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux?
L’article 33 (de la loi de 1881 sur la Liberté de la Presse) ne lui est pas réservé et englobe tous les citoyens, dont les ministres, les représentants de l'autorité publique, des armées, de l’administration ou des instances judiciaires.
Ce texte n’est pas spécifique aux agissements en ligne, mais inclut les injures proférées par voie électronique. Une catégorie qui intègre les publications sur les réseaux sociaux car accessibles depuis une connexion internet, détaille Numerama. La sanction encourue peut atteindre 12.000 euros d’amende.
Cette peine peut être portée à un an d’emprisonnement et 45.000 euros dans le cas d’injures liées à l’origine, l’appartenance ou la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. Il en va de même dans le cas de propos ciblant le sexe, l’orientation sexuelle, l’identité de genre ou un handicap.
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Une seconde loi peut être invoquée par le chef de l’Etat en cas de messages insultants: l’article 433-5 du Code pénal encadrant le délit d’outrage.
"Constituent un outrage puni de 7500 euros d'amende les paroles, gestes ou menaces, les écrits ou images de toute nature non rendus publics ou l'envoi d'objets quelconques adressés à une personne chargée d'une mission de service public, dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de sa mission, et de nature à porter atteinte à sa dignité ou au respect dû à la fonction dont elle est investie", indique le premier alinéa de l’article.
D'ailleurs, je ne saurais trop vous inviter à réfléchir à vos responsabilités et risques relativement à votre activité sur ce forum. Des fois qu'un sous-préfet s'énerve à propos des insultes répétitives visant plusieurs personnalités politiques françaises et européennes.
Neodadais Il n'y aurait pas que cela alors ?
Merci pour cette précision.
Non, elle est une trompette des Gilets Jaunes de la région. J'en déduis qu'elle était quelque peu surveillée par la police et la préfecture, et c'est le sous-préfet qui l'envoie en justice.
C'est moral , il faut rétablir l'ordre républicain et une stricte discipline dans ce pays.