Par jugement du 23 novembre 2021, la XVIIème chambre du Tribunal correctionnel de Paris relaxait Jean-Pierre Maugendre, responsable de Renaissance Catholique, poursuivi par trois associations LGBT, au motif de « provocation à la discrimination à l’égard d’un groupe de personnes à raison de leur orientation sexuelle ».
Il était reproché à Renaissance Catholique d’avoir publié sur son site, le 13 juin 2019, un article intitulé : L’ Église du Dieu vivant : la colonne et l’appui de la vérité, condamnant la reconnaissance par les autorités civiles « d´unions civiles ou légales entre deux personnes du même sexe ».
Or ce texte était signé de deux cardinaux et trois archevêques. Le tribunal a conclu qu’il s’agissait d’un texte doctrinal et a estimé ne pas à devoir le sanctionner.
Les trois associations plaignantes ont fait appel de cette décision.
Leur but est clair : réduire au silence les voix discordantes qui ne partagent pas leurs idées. Dans un premier temps ces associations lgbt ne s ' attaquent pas à l ' Église Catholique mais d'abord à une association un peu marginalisée , Renaissance Catholique. De cette manière, elles espèrent avoir moins de problèmes pour faire prononcer une condamnation par les juges. Une fois celle-ci obtenue, ils obligeront les personnes et les institutions établies à modifier leur discours.
Ils tenteront un jour de faire interdire la Bible ou les Églises pour leurs propos "homophobes" .
Source : https://renaissancecatholique.fr/blog/les-justiciers-lgbt-persistent-et-signent-contre-renaissance-catholique/