Nos propalestiniens.
Ils ne se réjouissent pas de la fin du massacre, ils ne se réjouissent pas que cessent les morts civiles à Gaza. Leur indignation n’était pas liée à la souffrance des innocents, mais à la possibilité d’accuser. Elle s’éteint dès que l’accusation devient plus difficile.
Les morts ne les intéressaient que dans la mesure où ils servaient une cause — et cette cause n’était pas la paix c' était l' antisémitisme.
Leur silence actuel parle plus fort que leurs cris d’hier.