addendum
bon, juste pour compléter le ci-dessus, juste pour donner davantage de sens, et éviter d'autres interrogations, car sans perplexité je ne le fus jamais, parachuté dans la réalité humaine comme derrière les lignes ennemies, la perplexité m'est quotidienne, et c'est à cause de l'aspect enchevêtré des rapports humains, enchevêtrement, confusion, désordre, imbroglio...
mais finalement, Manu est un rassembleur, la droite la gauche dans le même sac, à la manière du grand Charles....
voilà pour mon « sans perplexité », état d'âme qui n'est pas le mien, sauf en de rares circonstances quand la complicité est présente, mais çà, tu le sens, tu t'y abandonnes, c'est suave, hélas bien rare !
me voilà donc perplexe, et cela dès la première lecture !
et ce qui m'échappe est décanté, remontant peu à peu à la surface, c'est figuratif, bien sûr, quand la lumière pénètre peu à peu les ombres du tableau, se gardant une petite gêne, l'ignorance est alors bienséance, l'autre peut nous surprendre sans nous décevoir déjà. Il est vrai, cependant, qu'un cerveau en ébullition est de la dépense d'énergie, ne l'ignorent que ceux qui ne pratiquent pas la chose !
alors, fourbuvons-nous, pour boire ensuite, détendus, en attente de...
l'esthétisme, c'est toucher l'autre... du regard. Il y en a un autre aussi, entre les deux oreilles !
celui-là aime versifier, un poète comme ce cher....., bref....
je préfère regarder, et puis me marrer !
finalement
hub'