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Macron, du président au candidat. Topic unique
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... C'est pas du concret ça, c'est juste un tableau excel d'apothicaire avec des prospectives fictives.
Bref, de la méthode Coué. (des prophéties qui se veulent auto-réalisatrices)
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[supprimé] Il faut s'indigner, pour de bonnes ou de mauvaises raisons, peu importe.
La mode est au braillard.
Celui qui se tait, qui ne s'agite pas, passe pour un moutonnier.
On ne sait rien, on ne comprend rien, on ne réfléchit à rien mais on s'exprime. Exister, donne son avis, mieux, donner l'avis qui va s'imposer à tous les autres.
L'époque est à l'idiot, la science est en recul, la culture est une notion basse.
On ne sait pas écrire le mot, mais on se fait fort d'expliquer urbi et orbi à quels concepts il renvoie, l'illettré contredit l'écrivain, le niais renverse la table d'expériences pour imposer ses vues, des mains pleines de cambouis montrent au chirurgien le bon geste et des gus qui ont été atomisés naguère sur pythagore causent isomorphismes sur un sujet, puis annotent Nietzsche, avec le recul que leur confèrent abonnements à divers youtubeurs-bloggeurs, sur le suivant.
Sacrée époque de branques.
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[supprimé] La mode est au braillard.
Si des vraies élites étaient au pouvoir,
depuis le temps,
On ne serait pas dans ce caca.
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De vraies élites vous (toi et les autres) couperaient internet, ce serait leur première mesure.
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[supprimé] De vraies élites vous couperaient internet, ce serait leur première mesure.
Heureusement que tu n'en es pas une alors ;-)
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Tu serais plus heureux sans, moins frustré. La supériorité est toujours odieuse, écrivait Euripide.
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[supprimé] Tu serais plus heureux sans, moins frustré. La supériorité est toujours odieuse, écrivait Euripide.
C'est beau comme concept, de faire le bonheur des autres à leurs places.
Ca donne une illusion de toute puissance ?
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Stop.
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[supprimé] Je vote pour.
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pour info:
Avec des loustiques comme vous (ci-dessus).
La grandeur de la France et des français part en lambeaux ... à chacun son opinion.
Une citation qui illustre à merveille la notion de liberté d'expression et de libre arbitre (ou libre dessin, c'est le même processus):
"Je désapprouve ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire."
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[supprimé] des loustiques
Le loustique-tigre, nouvelle espèce.
Tous les jours on apprend sur fopo.
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[supprimé] Le loustique-tigre, nouvelle espèce.
lous-tic si tu préfères ce tique. (mais ça ne change que la forme, pas le fond)
... Tu es bien plus doué pour rebondir sur les formes que sur les fonds. (ça permet de vérifier tes priorités)
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C'est-à-dire que le fond (les fonds ?), comment dire...me semble étroit pour servir de trempolino.
15 jours plus tard
Emmanuel Macron se veut tellurique, mais il est surtout spongieux. Il ne peut ignorer néanmoins que de deux propositions contradictoires, c'est la plus excessive qui finit toujours par l'emporter, et lorsqu'il se rallie à l'idée du “privilège blanc”, il donne d'abord quitus aux indigénistes et autres “décoloniaux”, validant leur point de vue, endossant leur lexique, leur accordant une victoire culturelle qui infirme et invalide sa profession de foi républicaine.
En reprenant à son compte l'un des slogans de la gauche américaine, il ouvre par la force du verbe attenant à sa charge une boîte de Pandore qui coupe la route à la voie républicaine d'une France qui ne reconnaît pas les communautés mais seulement les individus. De facto, il se fait, bien qu'il s'en défende, l'artisan d'une conception américanisée de la nation. Les mots ont un sens et donnent… le sens.
https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/politique/benedetti-macron-0-indigenistes-1-127008
Le “quoi qu'il en coûte” promis par Macron.
Comment les promesses de l'État s'écrasent sur la réalité de la bureaucratie.
Pour le seul fonds de solidarité, l'aide versée dans le cadre du reconfinement n'est pas la même selon la situation de l'entreprise, son domaine d'intervention et selon le mois considéré ! Exemple : pour décembre, les entreprises fermées administrativement bénéficieront d'une aide pouvant aller jusqu'à 10 000 euros ou d'une indemnisation jusqu'à 20 % de leur chiffre d'affaires 2019 (deux modes de calcul déterminent son montant) avec un plafond de 200 000 euros par mois. Les règles changent pour les entreprises ouvertes néanmoins touchées par la crise. Ces dernières auront accès au fonds de solidarité (10 000 euros ou 15 % du chiffre d' affaires 2019) à condition d'avoir perdu au moins 50 % de leur activité. « Sur mes cinq restaurants, seuls trois ont été éligibles : les deux autres n'ont perdu que 42 % de leur chiffre d'affaires, calcule le chef Jean-François Piège. Nous n'avons pas d'indemnisation alors qu'un établissement dégage en moyenne entre 4 et 8 % de marge brute. » Les entreprises ayant perdu plus de 70 % pourront toucher jusqu'à 20 % de leur chiffre d'affaires. Les règles sont bien évidemment différentes pour les mois de novembre et d'octobre…
Il n'y a pas que la complexité, il faut également composer avec les zones d'ombre. Le site de Bercy indique ainsi que les entreprises peuvent bénéficier d'étalement ou de report de leurs impôts directs, voire, dans les situations les plus difficiles, d'une remise d'impôts. Cette décision est prise au cas par cas, après examen individualisé des dossiers. Selon quelles règles ? Mystère. « On passe notre temps à faire des parties de ping-pong avec notre cabinet comptable, au fur et à mesure que les aides sont annoncées, raconte Frédéric Anger, responsable du magasin de jouets Cellules grises, dans le centre commercial d'Évry 2. Une aide est décrétée, y a-t-on droit ? Notre comptable nous répond qu'il va devoir se renseigner, qu'il ne sait pas. » Exemple : « Nous, restaurateurs, avons toujours manifesté notre envie de travailler, nous nous sommes soumis aux règles sanitaires car elles étaient normales, nous en avons assumé les investissements comme celui pour le click and collect, rappelle Jean-François Piège. Mais je vois aussi qu'en novembre, quatre de mes restaurants recevront 10 000 euros du fonds de solidarité et pas le cinquième car il a le même numéro de Siret qu'un autre de mes établissements… » ...
https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/economie/aides-aux-entreprises-comment-les-promesses-de-letat-secrasent-sur-la-realite-de-la-bureaucratie-127035
katou Le “quoi qu'il en coûte” promis par Macron.
Pour infos cette formule a été copiée à Mario Draghi ex président de la BCE, qui lui même avait adopté la même démarche que Ben Bernanke et Janet Yellen ex patrons de la FED .
.. Sauf que la France ne pourra pas compter éternellement sur la BCE et ses taux négatifs. (20% de notre dette).
L'Europe du Nord (et de l'Est) va commencer a grincer des dents..
https://www.lepoint.fr/economie/le-nouveau-whatever-it-takes-de-draghi-25-07-2019-2326878_28.php#