gth C’est beaucoup plus facile pour le candidat Macron de jeter l’anathème sur un extrémisme de droite supposé que de réciter son propre acte de contrition sur les échecs de sa mauvaise politique.
Et des politicards qui ne sont plus la coqueluche des Français, n'auraient rien d’autre à déplorer en choeur que la seule perte désastreuse de leur petit pouvoir absolu de l’entre soi ? Ils seraient en position de décréter que M.Le Pen est porteuse de la petite vérole extrémiste ?
Pourfendeurs du macronisme, Ils ont rendu un hommage républicain à Macron dans un mouvement de succion solidaire, et leur posture trop révérencieuse illustre bien des manières peu flatteuses de s’ouvrir plus largement à un consensus politique lorsque le fondement de leur idéologie est chatouillé par un peuple qui leur a fait un doigt d’honneur...
Et les Français, eux-même qui les suivent bêtement...
Lorsqu’on on n’a d’affinités ni avec l’un, ni avec l’autre, on s’abstient...à moins d’espérer encore quelques intérêts personnels et mesquins de la part de celui qui a conchié ses compatriotes durant sa présidence, mais qui s’est racheté opportunément en monnayant ses incompétences politiques.
On peut aussi combattre M.Le Pen, dans ce qu’elle représente, et son projet est certes critiquable, voire réfutable, bien qu’on puisse lui concéder de ne pas avoir de bilan défavorable susceptible d'en dire long sur ses inaptitudes à gouverner.
Ne pas l’essayer, elle, parce qu’elle n’est pas adoptée, soit.
Au nom d'un politiquement correct revenu au galop ?
Et reconduire l’autre parce qu’il tient la caisse, ok.
En lieu et place d’une doxa frayant de nouveau avec l’angélisme ?
Pauvre France...