addendum
pour rebondir encore, et sans vouloir enfoncer de portes ouvertes, on va simplement constater que le pognon de dingue (sic) pour reprendre l'une des expressions mythiques du roi de la dialectique, rhétorique, sémantique, voire casuistique, que vous aurez reconnu, s'est déversé sur la planète foot, avec des droits télé pharaoniques, et l'argent à gogo de la pub des annonceurs mondialisés .....
sans parler des surenchères foldingues (cf Messi récemment) pratiquées par des clubs financés par le gaz du qatar, comme notre sympathique PSG !
les millionnaires du ballon rond, une sphère dorée, un référentiel bondissant en or brut, ben, du coup, ils se démènent sans trop se fatiguer pour les couleurs de leur club, devant les smicards qui hurlent à qui mieux-mieux, injurient et se castagnent comme des bêtes de sommes, en somme !
les terrains de foot sont devenues des cours de récréation, des espace-temps de liberté intersticielle, avec des hurlements et des injures en guise de support de remédiation cognitive..
n'en jetez plus, même si le gazon est parfois maudit, de surcroit, comme à Nice récemment, le nouveau stade transformé en arène, simulacre de match bidon, et arrêté à juste titre !
cela dit, et pour répondre à une interrogation existentielle fort logique, je vais juste reprendre une locution latine, laquelle explique l'inexplicable, et rien n'a changé depuis la Rôme antique, hormis la nature des jeux !
"panem et circenses", littéralement "pain et jeux du cirque", ou encore "du pain et des jeux", c'est dans la nature humaine.....
éternellement
hub'
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