cheshire-cat Vous ne comprenez rien à l'épidémiologie qui a un sens sur la durée et non à un instant soumis à des fluctuations spatio-temporelles (foyers épidémiques).
Difficile et peu pertinent d'essayer d'établir des tendances sur la durée en tenant compte de paramètres obsolètes, étant donné que dans cette épidémie, les variables sont omniprésentes; Les politiques sanitaires diffèrent suivant les états, elles changent d'un mois à l'autre, et le virus lui-même est soumis à des mutations qui en altèrent les caractéristiques.
cheshire-cat les vaccinations peuvent entrainer des effets indésirables éphémères.
On a des rapports de pharmacovigilance qui témoignent du contraire.
Quand un type au fin fond du Texas meurt supposément à cause du glyphosate, on s'empresse de demander l'interdiction de ce produit au nom du principe de précaution, ce qui n'est pas forcément une mauvaise chose en soi.
Mais lorsque les chiffres de l'ANSM laissent à penser qu'il y'a 900 décès attribuables au vaccin, on a un ministre de la santé qui passe complètement sous silence ces données publiques dans ses déclarations devant la commission des lois de l’Assemblée nationale.
Bien sûr, personne ne lui demande de déclarer de but en blanc que le vaccin est la cause directe de ces décès, vu qu'il s'agit de données de pharmacovigilance qui devront être confirmées par la suite, mais faire des déclarations aussi péremptoires sur l'innocuité du vaccin est en contradiction totale avec le principe de précaution et les données actuelles.
katou Au vu du titre du sujet, je tiens à ajouter que l'idéologie anti vaccin n'existe pas en France, tous sont vaccinés depuis l'enfance et vaccinent leurs enfants.
Elle existe mais de manière très marginale.
On est pas "anti-vaccins" parce qu'on refuse l'injection contre le COVID. De même qu'on est pas "anti-huile" parce qu'on refuse de lubrifier le moteur de sa voiture avec une huile expérimentale au rapport bénéfice-risque très obscur.