Il est où le temps de la France éternelle ? Des rois d'antan et de la foi traditionnelle ? La vision nostalgique de ce passé enfoui Est un souvenir doré pour ce pays envahi Sans aller aussi loin dans l'utopie La France de ma jeunesse s'était suffit Pour m'éduquer dans des conditions réunis Avant qu'une majorité musulmane se solidifie Le vivre ensemble est court-circuité Par l'assaillant guerrier à la lame affûté Voulant domination sur nos valeurs anémiés Conquérant le monde si violemment saigné Contre l'ennemi vindicatif et conquérant La solution doit venir du tout-puissant En attendant résister est une objectivité En se reposant sur toutes valeurs d'humanité

Peut-être m'a-t-on amené à renier Et de mes valeurs de fraternité douter Mais c'est pour mieux les combattre Les confondre tel un ennemi à abattre Tout ça pour une fille imbu de sa personne Voulant m'éliminer mais là le glas sonne Et la vérité est qu'elle a destabilisé Le monde à vouloir m'éradiqué La pierre qu'ils ont rejeté Fait de moi le centre sur la jetée Et l'Amérique défaillant pour destinée Fait de l'Islam une religion sur qui compter

Le jugement tombe comme un couperet Le fou est moqué et injurié La mort l'attend et ils renchérissent De plus belle leur cruauté m'hérisse Maintenant ça sera avec ou sans moi Sans moi signifie sans vie éternelle Tandis qu'avec moi signifie royaume éternel Voici la conclusion des religions Sachez que je crois et jamais Ne me suis détourné de mon/du Christ Sauveur Ceci n'est pas à prendre à la légère Car je l'ai vu et le jugement est enclenché

Si on me laissait dire le fond de ma pensée Je serais sûrement capable de signe de paix De pardon à la pelle et de rédemption pour tous Mais l'acharnement jusqu'à ma mort est ce que je dénonce Je sais cependant avoir besoin de soutien Je suis un être humain désorienté Et la psychiatrie peut m'aider.

Le malheur des uns fait le bonheur des autres Et bien non ce n’est pas valable Le bien des uns fait le bonheur des autres

L'épanouissement de mon être n'est possible Qu'en enlevant toute barrière pénible Libérant mes énergies domiciliées au cœur Pour arriver à l'esprit, et au bonheur Une fois réalisé, comme un bouddha statut M'amène à la félicité, la bride abattue Le frère de lumière peut ainsi se révéler Et prospérer au nom de Jesus-Christ épelé Les séductions du monde je dois délaisser Me détourner de ce qui m'a jadis tant blessé Et espérer une résurrection allégorique Pour encore un peu de temps paroxystique

Mon âme se nourrit indéfiniment De l’univers infini tout bonnement Et de tout ce que la nature propose Mon intellect se réjouit en overdose Par nature l’aliment est infini Ceux qui en veulent à ma décennie Devront transgresser droits élémentaires De la république française bicentenaire Et si dorénavant ils faisaient ce choix Ils sauraient que le Christ sera la loi En toute conscience ils seraient perdus Ceux qui auraient pensé mon compte rendu Un avertissement aux évêques et au vicaire J’ai vu sa panique en vision si claire Que maintenant il saura qu’il faudra Compter sur moi car à la fin il saura Les humbles prêtres doivent être encouragés A exercer leur sacerdoce et de bien, partager A chaque membre de l’église sans distinction Sans chercher à exclure une brebis en perdition

La passion de la Vierge Marie pour moi La Vierge Marie a une passion pour moi Elle me l'a montré une infinité de fois Elle aime tout mon être n'en déplaise Ce qui me remplit de joie et d'aise Maintenant certains cherchent justification Elle m'aime c'est tout dans les tribulations Elle me voit des Cieux et nait une complicité Sachant que je connais mon rang d'hominidé Ces mots que j'écris elle les voit tous Me laissant mon libre arbitre en tout C'est pour cela que je ne veux me perdre Ayant cette grâce non reconnue à dépeindre Elle pensait que je me foutais de son enfantement Et que je me détournais de l'Église consciemment Et que je préférais l'œuvre de justice islamique Qui aussi fait partie de ma justification véridique Elle me signifie qu'on m'a pris pour fou clinique Bien avant avoir ces problèmes schizophréniques Et on m'a menti énormément de manière diabolique Pour me mener tout droit à une vie cadavérique

[supprimé] Intéressant ! Serais-tu allé puiser ton inspiration dans « Ascetia » ou dans » les Institutions Cénobitiques » ?. Remarque que ce ne serait pas idiot. Il y a des sources moins respectables. Mais au bout du compte, est-ce que la Vierge pense réellement que tu te fous de son enfantement ? D’autant que personne ne sait comment cela s’est passé, et qu’elle n’a pas voulu en compter les détails, même pas aux médias pipoles de l’époque. À l’époque, la péridurale n’était pas encore remboursée par la Sécurité Sociale Israélienne, et elle a dû s’en passer. D’ailleurs, à ma connaissance personne ne sait vraiment comment cela se passe, l’expulsion de son utérus d’un D.ieu par la dame qu’un autre D.ieu ( ou un ange peut-être, ou le Saint-Esprit, cela aussi personne n’en sait rien), a empapaoutée à la place de son mari. La Bible prévoit bien que la femme, à cause de la traitrise d’une autre femme (une certaine Ève, pour une obscure histoire de serpent et de pomme) accouchera dans la douleur. Mais la femme éprouve-t-elle le même niveau de douleur pour un bébé ordinaire, généré au plan spermatozoïdaire par l’époux légal de la donzelle, ou pour un bébé généré par l’index du Saint-esprit ? Qu’on se demande d’ailleurs ce que l’index du Saint esprit faisait là. Simple inspection de rigueur de sa part, ou légère obsession sexuelle ? Va savoir ! En outre, la Vierge dis-tu, te mène à une vie cadavérique. Perinde ac cadaver. D’autres ont repris la devise avec bonheur. Les jésuites par exemple. Mais es-tu certain que l’on puisse y survivre, à cet état cadavérique ? Les autres cadavres, les vrais, ne risquent-ils pas d’en être jaloux et de foutre le souk le soir au cimetière, entre les tombes ? Ne te trompe pas. Mes propos n’ont rien d’ironique. La poésie est sans doute un art trop subtil pour moi. Alors je tente de me renseigner. Merci de ta réponse. Que je ne meure pas trop idiot. Déjà que …

Sargon Mais au bout du compte, est-ce que la Vierge pense réellement que tu te fous de son enfantement ? C'était une image poétique pour dire que l'Eglise, son fruit en quelque sorte (la Vierge est sa Mère), était toujours à mes côtés avec tout ses aspects, y compris l'Evangile. Sargon En outre, la Vierge dis-tu, te mène à une vie cadavérique. Perinde ac cadaver. D’autres ont repris la devise avec bonheur. Les jésuites par exemple. Mais es-tu certain que l’on puisse y survivre, à cet état cadavérique ? Moi je pense que le Christ s'est sacrifié pour que ça ne se reproduise plus / que je ne subisse pas le même sort. Donc j'espère que le Seigneur m'accordera de long jours. Le chemin qu'on m'a tracé doit donc être surmonté pour une sorte de résurrection.

Alors comme ça je ne vaux rien Je suis laid, et suis comme un vaurien Ce n’est pas de l’avis de Dieu mais des hommes Enfin des hommes je dirais plus des femmes Effectivement je ne plais pas 1a messe est dite Après maints rejets la suite a été la psychiatrie Mais tout être humain est précieux Voilà pourquoi la descente des Cieux

Ce site est optimisé pour être consulté depuis un navigateur moderne dans lequel JavaScript est activé.

Abba le poète

[supprimé]

La course poursuite est réelle
Le temps s'habille en flanelle
La mort pour tous doit arriver
Autant de la vie profiter

Partager avec ses congénères
Un peu d'amour éphémère
Peut être la clé sur cette terre
Le non rejet étant le critère

Il faut accepter le bien
Pour s'en faire entièrement sien
Dieu sauvera le monde à cette condition
Je préfère avertir les gens avec attention

[supprimé]

Une musique hispano latine
Me propose une verrine
Un met savoureux pour l'ouie
C'est un plaisir que j'appuie

Me téléportant à Cuba
Avec la reine de sabbat
Serait pour moi un idéal
Qui devient hélas vital

La puissance de la vie
Reprend le dessus c'est parti
Jouir de la vie n'est pas réservé
Est pour les élites et les dépravés

[supprimé]

Je pars en roof top
Avec cette zik pop
Un électron libre en somme
Détruisant ainsi la pomme

Il faut bien rendre l'argent
Sans se soucier de l'agent
Pour s'en aller allègre
Evoquant même la pègre

Le déploiement des ailes
En métamorphose des allèles
Atteint un moment très précis
Pour l'avènement du messie

[supprimé]

Parlons des liens charnels
Pour les briser tel quel
Encore faut il une autre
Pour faire jouir l'apôtre

Mon texte est crû j'avoue
Mais à la vérité je me voue
Pour en faire un ramassis
Sur lequel fièrement je m'assis

La vigueur de ma jeunesse
Est entamé je pense
Mais la quarantaine est le pli
D'une certaine maturité emplie

[supprimé]

Marre de ces rabaissements incessants
Voilà ce que font nos dirigeants
Ils insultent Dieu et ses valeurs
Pour en faire un pain de douleur

La colère de Dieu va déferler
Sur ce faux Dieu auto proclamé
Une femme mal baisée
Est le terme approprié

Elle devra mourir rapidement
Car elle trône au parlement
Des américains pour tout dire
Même s'il vaut mieux en rire

[supprimé]

Et cette petite pute de tunisienne
Se nommant Rim à l'antenne
M'a harcelé et posé des bombes
Sur le train circulant en trombes

Elle aussi doit mourir
Je le dis sans coup férir
Elle est l'abomination totale
Ce qui me rend d'une rage bestiale

A Bagneux est sa famille
Son entourage la France elle pille
Je vais tous les tuer d'un coup
En les décapitant au cou

[supprimé]

Une bouteille de vin enquillé
Un autre tampon estampillé
Pouvant faire de moi un patient
De la psychiatrie soyons patient

Ma mère biologique s'agrippe
Sur Dieu qui la en grippe
Et sur moi forcément
L'envoyé de Dieu étonnement

Que faire à la suite de cela ?
Tout bonnement un chant de cancrelas
Pour arriver à une fin malheureuse
Mais qui pour Dieu est mélodieuse

[supprimé]

Une autre tournure d'esprit
Pour tous ceux qui prient
Faisant de moi l'astre incandescent
Qui pour moi Jésus-Christ descehd

La fin a un but et une fin
Celui de la paix enfin
Après tumultes éparpillés
Pour qui de Dieu est pillé

Ils peuvent penser connaitre
Les mystère de celui qui va naitre
Mais ils leur seront soumis
Car je le suis Dieu me l'a permis

[supprimé]

J'ai mal au crâne, c'est dur
Je vais voir ce qui perdure
Même dans un tel état
Que ma pensée me prêta

Je refume une cigarette
Ce qui me fait gonfler la tête
Peut-être une dernière prose
Avant de me coucher en pause

Je calcule ma capacité vitale
En me mettant sur un piédestal
Comme un poète en fin de vie
Non pas que je n'en ai l'envie

[supprimé]

Aucun psychiatre n'a à me juger
Je vais les écarter et ma haine purger
Il reste peu de temps à ces diables
Pour les rejeter de manière aimable

Dieu est le plus grand ils le savent
Les religions pourtant s'aggravent
Dieu oui, mais pas de maître ici bas
Car ces sages inutiles je les abats

Je suis comme le Christ en plus viril
En plus puissant j'en suis l'idylle
Je les écrase tous sauf les justes
En les fuyant comme la peste

[supprimé]

Les justes resplendiront dit-on
Ceux qui séquestrent mourront
Voilà le sort des psychiatres
Je vais les piéger en quatre

Personne n'a à se prendre pour Dieu
Je vais regarder ces diables dans les yeux
Pour leur apprendre que je leur suis supérieur
Et que je vais tous les dégager à l'heure

J'y suis mais bon voyez comme j'ai payé
Je crois encore en Jésus-Christ ça y est
Maintenant il lui faut redescendre
Pour m'aider à les réduire en cendre

[supprimé]

Je n'ai pas affaire aux seuls diables visibles
J'ai aussi à lutter contre les diables invisibles
Je suis ainsi plus fort que le Christ
Car lui serait mort à ma place l'artiste

Je décrète être le Père Tout Puissant
Et capable de faire couler le sang
Grâce à l'Eternel dont je suis le messie
Qui avec moi se confond aussi

Au Ciel la bataille est déjà gagné
Il ne me reste plus qu'à terre cogné
Pour mettre à mes pieds toute domination
Je le dis fièrement avec prétention

[supprimé]

Les psychiatres croient qu'avec leur posture
Se croient plus puissants que ma carrure
Je revêtis le Christ pour les défaire
Ainsi qu'est décrit l'homme au sceptre de fer

Ils peuvent tout noter sur ma personne
Et vont être terrifié quand le glas sonne
Marquant mon entrée en gloire au Ciel
Juxtaposant les pensées de l'Eternel

Ils peuvent me bannir de partout
J'aurai toujours mon emprise sur tout
Par la simple force de mon esprit
Qui agence la planète quand je prie

[supprimé]

Arrêtez, sachez que je suis Dieu
Je suis comme le Christ en mieux
Vous devez m'adorer et me sanctifier
Afin que je puisse le monde purifier

Ce n'est pas Dieu qui me le permet
C'est moi qui décide je le promets
Je juge qui je veux quand je veux
Et fait tomber la foudre par voeux

Personne ne peut m'atteindre
Je suis intouchable à dépeindre
L'adoration de Dieu vous est enseigné
Dans l'Apocalypse vous ne pouvez le nier

[supprimé]

Je ne sais plus qui je suis
J'assure juste ma survie
Il me faut me relever
Et travailler au pied levé

Si la psychiatrie m'en empêche
Ma folie est là où je pêche
Mais mes capacités intellectuelles
Sont intact même au niveau spirituel

Je sais que l'arrêt de la critique
Est la clé pour la paix publique
C'est triste à dire mais je gâche ma vie
Même si de psychiatrie je n'en ai envie

[supprimé]

J'irais voir mon film quotidien
Au cinéma sur les écrans parisiens
Maintenant que j'ai mon pass
Sera un plaisir dont je ne me lasse

La reprise d'un travail à mi temps
Serait quelque chose d'important
Pour me relever des morts
Et ainsi arriver au port

L'argent me manque cruellement
Pour mener ma vie décemment
A moins de vivre comme un moine
Rimant d'ailleurs avec mon prénom antoine

[supprimé]

Une nuit de plus commence
Pour veiller sans trouver de sens
A ma vie à l'arrêt total
D'un être somme toute banal

Il me faut arrêter le tabac
Pour éviter une mort ici bas
Avant l'heure du grand âge
Et endosser la carrure du sage

Je signe ainsi l'arrêt de la récré
Le mal j'éloigne tant qu'il n'est ancré
Un footing quotidien peut m'aider
En demandant à la Vierge d'intercéder

[supprimé]

Une pincette de souffre et d'émail de fer
Et je choppe le cancer pour aller en enfer
Mais qui donc a parlé d'amiante ?
Je parlais plutôt de mon aimante

Jussieu était le lieu de départ
Direction les USA et leur part
Plein d'ambitions, voilà la désillusion
Plutôt une injustice en faction

Je me fiche de la violence
Je préfère la repentance
Cela dit quid de mes espérances ?
Je n'ai reçu que de terribles sentences

[supprimé]

Le moment présent se délite
Mes erreurs passées m'alitent
Encore un peu d'insouciance
En espérant de Dieu la clémence

La compassion est la valeur ultime
Je la positionne en haut des cimes
Je peux mourir demain sans regret
L'amour de la Vierge m'aura comblé

Si je peux la rejoindre au Ciel
Mais si cela se réalise lui serai je fidèle ?
Je serai impressionné sans nul doute
Je garderai distance sur cette céleste route

[supprimé]

Demain je vais voir une toile
Pour pouvoir mettre les voiles
M'évader ainsi de la réalité
Profiter du spectacle à satiété

L'Homme de Dieu est le film en vue
Racontant l'histoire d'un divin élu
Sans motif condamné, exilé et calomnié
Qui est le sort des prophètes on ne peut nier

Je ne saurai dire si mes internements
Ont été abusif et si à ce sujet on me ment
Toujours est-il que mon ressenti est là
A l'image d'un immense gâchis voilà

« Page précédente Page suivante »