Wokisme et éducation.
La santé mentale des enfants est devenue une préoccupation majeure de nos sociétés modernes. Les taux d’anxiété, de dépression et même de tentatives de suicide augmentent depuis une décennie, en particulier chez les adolescents. Mais si l’on dépasse les analyses superficielles, une question dérangeante émerge : l’éducation progressiste (souvent militante, woke ou LGBT) favorise-t-elle la fragilité psychologique des enfants ? Et inversement, les foyers conservateurs offrent-ils un cadre plus sain et structurant ?
📉 Des chiffres qui dérangent : les jeunes progressistes plus anxieux
Plusieurs études américaines révèlent une tendance inquiétante : les adolescents issus de milieux libéraux ou très progressistes présentent des niveaux de santé mentale plus faibles que ceux de milieux conservateurs.
Le psychologue Jean Twenge, spécialiste de la "iGeneration", a montré que l’explosion de l’anxiété coïncide avec l’essor des réseaux sociaux, mais aussi avec une sensibilité politique progressiste accrue.
Une analyse de Jonathan Haidt, professeur à NYU, met en évidence que les adolescentes libérales (aux États-Unis) souffrent beaucoup plus de dépression que leurs homologues conservatrices, toutes classes sociales confondues.
Pourquoi ? Parce que l’idéologie woke inculque très tôt l’idée que l’enfant est potentiellement opprimé, vulnérable ou en danger — ce qui génère un sentiment d’insécurité émotionnelle permanent.
👪 Famille traditionnelle : un facteur protecteur bien documenté
De nombreuses études confirment que les enfants élevés dans un foyer stable avec un père et une mère mariés ont, en moyenne :
une meilleure réussite scolaire ;
moins de troubles de comportement ;
moins de consommation de drogue;
moins de tentatives de suicide.
Le Brookings Institute, pourtant non conservateur, a même identifié trois facteurs clés pour sortir de la pauvreté et vivre une vie stable : finir ses études, travailler, et se marier avant d’avoir des enfants.
Les familles conservatrices tendent à valoriser ces trois piliers, tandis que les discours progressistes remettent souvent en cause le mariage, la structure binaire de la parentalité ou même l’idée d’éducation genrée.
🏳️🌈 Que disent les études sur les enfants élevés par des parents LGBT ?
Les études « officielles » concluent généralement qu’il n’y a pas de différence significative entre les enfants de couples hétérosexuels et homosexuels. Mais ces études présentent souvent des biais :
échantillons réduits ;
biais de publication positive ;
méthodologies militantes.
Une étude plus critique menée au Texas (Sullins, 2016) suggère que les enfants élevés par des couples de même sexe sont plus à risque de dépression et d’anxiété, même si cela reste sujet à débat.
🧠 L’idéologie comme source d’angoisse identitaire
L’idéologie woke diffuse dans l’éducation une confusion identitaire permanente : un enfant n’est plus simplement un garçon ou une fille, il devient un “être en construction perpétuelle”, assigné à des “luttes” sociales.
Conséquences :
Hyper-sensibilité émotionnelle et sociale.
Sentiment de fragilité constant.
Méfiance envers les normes et les repères (famille, religion, autorité).
L’enfant devient instable parce qu’il n’a plus de socle.
Pourquoi les enfants de familles conservatrices s’en sortent mieux
Les valeurs conservatrices enseignent :
La responsabilité personnelle.
Le respect des rôles familiaux et de l’ordre naturel.
L’ancrage spirituel ou moral (foi, devoir, transcendance).
La gratitude plutôt que la revendication.
Tout cela participe à renforcer la résilience psychologique des jeunes, et leur donne une boussole intérieure dans un monde de plus en plus désorienté.
source : un intervenant de Quora.