Alors qu'une sortie de crise parait envisageable, le monde d'après sera-t-il plus vert, plus fraternel?
Allons-nous pouvoir retrouver nos apéros, nos loisirs, nos voyages, nos vacances ?
Nos emplois, nos élections, nos corridas, nos chasses, nos messes, le foot?
Va-t-on pouvoir continuer à s'empiffrer?
Parions que oui. Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort et réveille notre désir d'avenir et de vivre-ensemble.