[supprimé]
eh bien, vu la situation à l'extérieur, (pandémies, faits divers, quotidien, etc..)' c'est fort possible que les participants en redemandent.
Il explique que les mini crises survenues ont vite été régulées, notamment sur la bouffe, et qu'ils faisaient des réunions régulièrement pour aplanir les choses.
J'ai tendance à croire que 15 participants, c'est un peu trop soft, et que 40 jours, c'est relativement limité comme période.
Même si je reconnais être plutôt étonné de leur sentiment positif, après 40 jours enfermés, je me dis que sur une plus longue période, les problèmes de promiscuité peuvent réellement survenir, et à une échelle différente.
Il y a certainement un seuil de tolérance, qui risquerait d'être atteint, à être contraint d'opérer une routine plutôt limitée en activité.
Bon, peut être que j'ai tort, 40 jours ou 120 jours, ce serait kif kif.
Là, ils ont l'air d'avoir vécu des petites vacances un peu particulières, mais sans plus de dommages sur le moral.