[supprimé]
C'est un argument de sociobiologie classique, qu'il faut toutefois nuancer. Dans les espèces où le père s'occupe avec la mère de ses petit, les différences entre les mâles et les femelles, qui forment des couples, sont plus faibles, y compris le dimorphisme sexuel.
Chez l'homme, il y a un facteur de plus, les inégalités sociales, un riche aura les moyens d'élever plus d'enfants qu'un pauvre et dans les sociétés qui pratiquent la polygamie, pourra avoir utilement plus d'épouses.