Il y a plusieurs choses qui me gênent dans cette affaire :
1- On parle d'inceste, alors qu'il n'y a aucun lien de parenté entre O. Duhamel et la présumée victime. Beau-père n'est pas un lien de parenté.
2- La fille Kouchner se réveille 30 ans plus tard et pour dénoncer un fait dont elle n'est ni la victime, ni même la témoin directe !
3- La présumée victime, jeune homme de 14 ans à l'époque des faits, ne semblait pas garder un souvenir traumatisant des faits, puisqu'il n'a jamais envisager ni de révéler l'affaire, ni, encore moins, de la porter en justice.
Il est alors à craindre, hélas, que cette opération soit menée avec des intentions plus mercantiles que prétendûment juste. A l'image de ce qu'on a déjà vu, avec une écrivaine sur le déclin et n'ayant jamais percé, gagne le Jackpot en relatant sa relation amoureuse avec G. Matznef... Elle avait, elle aussi, 14 ans et personne ne la forçait à rejoindre son amant, tous les jours ou presque ! Mais voilà, les temps changent, les moeurs évoluent (et pas toujours dans le bon sens) et ce qui apparaissait anodin dans les années 1970, permet aujourd'hui de livrer quiconque en pâture aux chiens. En l'occurence, Mme Springora fait coup double, puisqu'elle peut, ainsi, se venger de son amant au talent d'écrivain ô combien meilleur que le sien...
En attendant, M. Duhamel est l'objet d'un harcèlement ignoble et les quelques malheureux, qui tentent désespérément de le soutenir, sont voués aux gémonies. Il ne peut même pas se défendre, il est cloué au pilori médiatique.
Quelle époque... Vive les Tartuffes !