Poufpouf J'aurais pu dire les règles morales de nos ancêtres en considérant que le premier code universel remonte à la naissance de notre religion historique.
A chaque fois que l'on a transgressé ces règles, s'est posé la question de l'éthique et du bien fondé de ces "dérives".
Evidemment, tout ceci est facilité par l'aspect économique qui découle de ce nouveau marché et du peu de scrupules de certains praticiens.
L'enfant peut-il choisir son “genre”
jack127
Il existe deux morales: La morale intemporelle issue du paléolithique, relativement immuable, et la morale acquise née avec la sédentarisation. Cette dernière évolue avec les changements sociologiques, structuraux, technologiques. Elle change d'une époque à l'autre, et d'un pays à l'autre.
La grande erreur des musulmans est d'avoir figé les règles alors que la société a évolué. Même si "les mythes en savent plus que nous", certaines croyances doivent muter, disparaitre, laisser place à de nouveaux dogmes. Le civisme écologique en est un exemple. C'est une religion nouvelle qui s'impose naturellement au service de l'intérêt général. Dans le même temps, les interdits voués à limiter la progression des MST ont drastiquement muté. (devoir d'utiliser un préservatif, au lieu de condamnation de l'amour hors mariage).
jack127
Autre chose: L'humanité sédentaire a connu au début d'autres règles que celle du judaïsme. Je pense à l'apologie de l'héroïsme chez les homériques grecs, par exemple. Plus tard, la morale dite judéo-chrétienne a beaucoup changé en 20 siècles, malgré une certaine inertie de la pensée religieuse, qui a toujours un métro de retard.
Poufpouf Je ne crois pas que les règles ont changées uniquement parceque la société à changé. Il y'a des lobby puissants qui profitent d'un soi disant rééquilibrage entre chaque communauté en profitant du laxisme des gouvernants qui ne voient pas le danger qui s'ouvre devant nos yeux.
Le souci d'équité entre chaque individu est un leurre car il n'a jamais existé et n'existera probablement jamais tout comme il y'aura toujours des riches et des pauvres.
Ainsi, la nature nous dote mal ou bien mais vouloir la changer à tout prix n'est pas sans risque et toujours vouloir pousser le curseur plus loin nous amènera à une société déshumanisée où l'on cherchera à crée des individus parfaits, du moins en apparence.
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jack127 Le souci d'équité entre chaque individu est un leurre car il n'a jamais existé et n'existera probablement jamais tout comme il y'aura toujours des riches et des pauvres.
Ca réexistera comme d'habitude malheureusement après chaque grande guerre. (le bouton reset des humains soit-disant intelligents) ... c'est une constante Historique.
jack127 Le souci d'équité entre chaque individu est un leurre car il n'a jamais existé et n'existera probablement jamais tout comme il y'aura toujours des riches et des pauvres.
Ben non! Ces notions étaient inconnues au paléolithique. Elles le sont encore chez les indiens d'Amazonie. ...Et on en retrouve un équivalent chez certains primates.
Quand on vit de la chasse et de la cueillette, la notion de richesse n'a pas de sens.
Quant à ce qui menace la société moderne, c'est à peu près tout ce qu'on a généré depuis 1850. Comme dirait La Fontaine: "Vous chantiez? Et bien dansez maintenant".
[supprimé] (le bouton reset des humains soit-disant intelligents) ... c'est une constante Historique.
Là, c'est plutôt "Game over". A ce propos, que sont les flippers devenus?
Pour en revenir au sujet, je pense que le changement de sexe doit être envisagé avec la plus grande prudence par des gens qui connaissent le sujet, donc pas moi. D'ailleurs, j'ai les même sexe depuis 73 ans, et je m'en accommode. Ceci dit, c'est de la marque.
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Poufpouf Là, c'est plutôt "Game over". A ce propos, que sont les flippers devenus?
Oui, c'est "game over" si le bouton reset a bien marché. Sinon c'est retour vers le futur et l'âge de Pierre (un nouveau né, un nouveau messie) ça fait flipper et fout les boules, même à Kaboul comme le dit la chanson.
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jack127
Nos ancêtres répondaient au questions qu'ils se posaient dans leur mythes.
TIRÉSIAS
Dans la mythologie grecque, devin aveugle de Thèbes. [...] on raconte également qu'il fut transformé en femme pour avoir tué la femelle d'un couple de serpents en train de s'unir ; il ne reprit son sexe premier que sept ans plus tard, après avoir tué le serpent mâle.À la suite de cette expérience, il fut un jour consulté par Zeus et Héra qui ne parvenaient pas à se mettre d'accord : Héra soutenait contre Zeus qu'en amour les femmes ont moins de plaisir que les hommes ; Tirésias affirma que l'amour donnait aux femmes dix fois plus de plaisir qu'aux hommes. Furieuse de voir qu'il avait révélé le secret de son sexe, Héra frappa Tirésias de cécité, mais Zeus lui accorda en compensation le don de prophétie.
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jack127 Je parlais de nos sociétés modernes mais évidemment nos ancêtres ne se posaient la question du changement de sexe.
Nos ancêtres avaient d'autres questionnements bien plus existentiels, pragmatiques, et utiles que le sexe des anges.
[supprimé] Rien que le planté de cailloux, quand on voit le nombre de mégalithes, devait les occuper un moment! Et c'était éminemment plus important!
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sangtriste Rien que le planté de cailloux, quand on voit le nombre de mégalithes,
Ca ce n'était réservé que pour les gens un peu à l'Ouest ;-)
[supprimé] ça a certainement commencé à l'ouest pour se rependre au moins jusqu'en Corée!
sangtriste Rien que le planté de cailloux, quand on voit le nombre de mégalithes, devait les occuper un moment! Et c'était éminemment plus important!
Curieuse occupation, en effet. Mais si leur télé était en panne...
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Tu seras une femme, mon fils.
Analyse : " Opération intellectuelle consistant à décomposer un tout en ses éléments constituants et d'en établir les relations ".
Décomposons le couple humain tel qu 'il est décrit par le droit.
On y trouve un homme, une femme, pour un couple hétérosexuel, et dans l ' actuelle société, depuis le mariage pour tous, on peut y trouver deux personnes du même sexe formant un couple homosexuel.
On peut tenter d'analyser ces différentes situations.
L'union d’un homme et d’une femme est différente de l’union entre deux hommes ou entre deux femmes. L'homosexualité en effet c'est, de fait, le refus de l’altérité sexuelle alors que l’hétérosexualité fait vivre la complémentarité sexuelle. Seule l'hétérosexualité peut donner la vie, l'homosexualité est stérile. Homosexualité et hétérosexualité sont donc différentes voire contraires.
Cette analyse du couple montre une imprécision sur le sens de ce terme " couple" qui recouvre des réalités différentes.
Si l 'on veut se lancer dans l 'élevage de pigeons, et que l 'on va acheter un couple de ces adorables volatiles chez le marchand, grande sera notre protestation s 'il nous vend deux mâles ou deux femelles. Nous voulons un couple, soit un mâle et une femelle. Deux mâles ou deux femelles, pour notre projet, c 'est une chimère, ça ne peut permettre la mise en place d'un élevage.
L ' analyse du terme "couple" nous montre une certaine confusion au sujet de son sens, une confusion entre les sexes. Cette confusion remet en cause la notion de relation entre les sexes, le critère de la relation étant important pour l 'analyse d 'une situation. ( Analyse : " Opération intellectuelle consistant à décomposer un tout en ses éléments constituants et d'en établir les relations " ).
Les zélateurs des nouvelles approches de la sexualité, ceux qui sont pour le mariage pour tous par exemple, vont jusqu’à vouloir abolir les concepts mêmes d 'homme et de femme. L ' humain ne pourra bientôt plus être analysé selon ses deux composants. Ceux qui se risquent à dire que les hommes et les femmes existent et que c’est un fait biologique sont parfois presque ostracisés. On doit dire selon eux « parent numéro un » et « parent numéro deux »au lieu de père ou mère, « parent qui donne la vie » au lieu de « mère », on ne doit plus parler de "lait maternel" mais de " lait humain" ( exemple anglais ) ou encore cette longue tirade : " les règles arrivent au moment de la puberté, généralement entre 10 et 16 ans, chez les personnes qui ont un utérus " dans laquelle on ne veut pas utiliser le terme " femme". On cherche à occulter les mots homme ou femme ( cf. sources 1, 2 et 3 ).
On change donc le vocabulaire, ce qui va déstabiliser psychologiquement la majorité des gens, ceci afin de ne pas gêner le 1 % des personnes qui ont une angoisse sur leur sexe, personnes qui méritent un accompagnement mais pour lesquelles l ' on n ' a pas à changer le sens des mots et de ce fait la perception de la réalité, la perception de notre vie personnelle, celle de notre vie en société.
Cette façon de voir les choses, certains dans le corps enseignant veulent la transmettre aux élèves afin de fonder la société future selon leur goût.
On peut citer la présentation d ' un livre qui leur est destiné :
" [Les instructions du ministère] offrent un cadre officiel et réglementaire à celles et ceux qui souhaiteraient mettre en place une pédagogie antisexiste et/ou non-hétérosexiste, fondée sur un égal traitement des enfants quel que soit leur sexe et sur le refus d’établir un lien entre celui-ci et un rôle à tenir dans la société. Ce livre porte justement sur les enseignant·e·s qui entendent se saisir de ces questions et sur leurs pratiques dans le cadre de l'école maternelle et élémentaire. Loin des polémiques, il vise à mieux cerner la spécificité de leur travail mais aussi la possibilité et les caractéristiques d’une éducation à l’égalité des sexes et des sexualités dès le premier degré d’enseignement, qui entendrait questionner aussi bien les savoirs scolaires que certains aspects du fonctionnement de l’école et de la classe au quotidien. "
Voilà le genre de philosophie diffusée par certain ouvrages destinés aux professeurs , en particulier des maternelles et primaires.
( cf.source 4 )
Puis il ne s 'agit plus d 'apprendre aux enfants les possibilités " des sexualités " mais de leur montrer que de changer de sexe, cela ne pose pas de graves problèmes.
Il est pourtant monstrueux d ' apprendre aux enfants d’aujourd’hui, dès leur plus jeune âge, qu’un garçon peut facilement devenir une fille et vice versa, leur proposant des choix censés être disponibles pour tous.
Cela peut être même fait en écartant les parents, en forçant l’enfant à prendre des décisions seul, décisions qui peuvent ruiner sa vie.
Par exemple, dans nos écoles, certains préconisent de faciliter ces changements, en le cachant aux parents.
Pour les enfants transgenres, un syndicat de l 'éducation nationale veut ainsi passer outre l'autorisation parentale pour appeler les élèves par le prénom que ces derniers souhaitent.
Selon ce syndicat, critiquant une circulaire ministérielle : " .... Pourtant en subordonnant le changement de prénom à l’accord de la famille de l’élève, le texte ministériel donne le dernier mot à la famille lorsque celui-ci est en désaccord avec le choix de l’élève. L’ école doit être un espace sécurisant pour les élèves, et les protéger des pressions familiales de tous ordres....."
(cf. sources 5, 6 et 7. )
Ce comportement permissif de certains enseignants sur les problèmes de sexualité est suffisamment diffusé pour qu ' aucun ne proteste devant les interventions du planning familial en milieu scolaire, interventions qui prêtent largement à contestations ( cf. source 1 ).
Dans tous les cas de la mise en place de ce système d 'incertitudes au sujet des genres, que ce soit via la reconnaissance juridique du couple homosexuel ou la politique d ' influence sur les jeunes pour les inciter au changement de sexe, la même méthode est employée vis à vis des contestataires: on les insulte. Vous êtes homophobe, transphobe.... . Ce moyen est utilisé pour mettre en place un nouvel ordre moral qui disqualifie toute personne ne s' y soumettant pas. Il ne reste plus qu ' à donner force de loi à cette morale pour parachever l ' œuvre.
Pour satisfaire une extrême minorité de la population on met en insécurité psychologique tous les autres, en particulier les adolescents.
Les folles idées de notre temps ont pour source des minorités qui, pour leur confort, changent les règles communes. L' éducation nationale utilise la confiance que l 'on met en elle pour apprendre aux enfants à lire, écrire, compter pour, non pas s 'investir dans ces missions, mais pour imprégner les générations futures des idées progressistes. On peut de nouveau donner l ' exemple du planning familial qui bénéficie grâce à l ' éducation nationale d ' un public captif ( cf. source 1 ).
" Tout le génie du progressisme consiste à faire passer pour des bêtises réactionnaires le simple rappel des évidences éternelles " ( Mathieu Bock-Côté ).
Pour le titre de cet article " Tu seras une femme mon fils " j' ai pris le contrepied du titre du poème de Rudyard Kipling " Tu seras un homme mon fils ".
Les wokes ( les éveillés) ne se sont pas rendu compte du caractère, selon leurs critères, homophobe, transphobe, sexiste, et j 'en passe, de ce poème. De ce fait, il n ' a pas encore été cancelled ( effacé).
Espérons qu ' on puisse encore l' étudier dans les écoles.
Le voici :
Tu seras un homme, mon fils
Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;
Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;
Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d’un mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère,
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n’être qu’un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,
Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tous jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire
Tu seras un homme, mon fils.
Sources :
1 https://www.marianne.net/agora/tribunes-libres/le-planning-familial-doit-renoncer-au-lexique-trans
https://www.planning-familial.org/sites/default/files/2020-10/Lexique%20trans.pdf
3
La société se destine à élargir le couple...Aujourd’hui, certains vivent même « en trouple », ménage à 3 où la bisexualité s’invite aux ébats.....Et pourquoi pas 4 ?...Si ce n’est déjà fait dans les métropoles où les gens s’acoquinent selon une communauté d'affinités plus ouverte et plus prompte à se lâcher librement dans ce type de désir consenti.
Et dans certains milieux, la libération sexuelle a été l’expression du principe de plaisir collant à un mode de vie non-conformiste et sélectif, devenu un des moteurs d'identification citoyenne supposée aujourd'hui contester ce que les notions-même d’homme et de femme désignent normalement comme essentiels dans la vision traditionnelle du couple, de la famille et par extension, de la société.
La légitimité ontologique du genre, pour cette humaine engeance, serait désormais dominée par la seule attraction et la pratique d’un particularisme sexuel néanmoins largement admis de nos jours, par beaucoup, quand ce n’est pas de l’indifférence.
Le problème est que cette communauté a besoin que l’on parle d’elle pour qu’elle puisse exister, avec cette obsession
de nier toute anomalie du genre, cependant qu’elle en est à l’origine chaque fois qu’elle se manifeste pour exiger, et sa différence, et sa volonté de récupérer sa part de la norme sociale...Le mariage homosexuel, par exemple.
Tout ça, pour ça !...
Dans cet entre soi plus ou moins sectaire, il n’est plus question de femmes et d’hommes, ce qui laisserait encore à concéder que les prédispositions hétérosexuelles, majoritaires et dominantes, demeurent la condition ultime d’une humanité qui s’insèrerait dans la nature-même de ce qu’est elle est réellement.
Il reste donc la culture pour refuser la généralité en s’affirmant dans une posture du genre, attachée à cette discrimination entretenue de l’homophobie et prétextée par des militants défendant moins une cause identitaire pour s’affranchir de toute contrainte sociétale que le sentiment qu’ils ont d’eux-même de se sentir déprécier dans le regard prétendu désapprobateur de l'ennemi hétéro.
L'infatigable défi porté contre de soi-disants préjugés qu’on parvient à réinventer chaque fois qu’une société qui n’a rien d’idéal, se résigne à prêter le flanc à toute atteinte de ce qu’elle prétend tolérer.
Et les Français sont dans l’ensemble tolérants. Ils s’en foutent.
Ces gens-là n’ont pas fini de nous rappeler à leur bon souvenir...Un autre grand remplacement ?
Encore une belle connerie américaine qui nous rapproche un peu plus notre société de l'abime. Les pseudo-sciences peuvent le contester mais le fait irréfutable est que le sexe est défini par la génétique.