Outre Science-Po Paris, le phénomène est général.
Bien moins prestigieuse, l'Université Toulouse Jean-Jaures connait depuis des années la même emprise politique
https://www.causeur.fr/mirail-toulouse-universite-blocus-gauche-150161
Mais lorsqu'on tombe aussi bas, il ne s'agit plus de politique. C'est la désactivation du fonctionnement normal de l'institution, qui devient infréquentable, irrespirable, dans laquelle les étudiants qui veulent étudier et non pas militer ne se sentent pas bien.
De toute façon actuellement ils sont surtout dans leur chambre de 8 m2 à recevoir des cours par télé-transmission, et puis débrouilles-toi.