claude67
Réponse à claude67 du 3/8/2020
Il ne faudrait pas que nous mettions la charrue avant les bœufs.
Nous sommes actuellement dans un tourbillon d’inconnus, tout comme les médecins qui sont toujours dans l’à peu près, nos économistes sont dans la désorientation.
Je crois surtout au niveau projection qu’il y a urgent d’attendre.
Personne, mais alors personne ne sait comment et surtout quand va se terminer l’histoire de cette saloperie.
Les prises de positions des uns et des autres et de l’U.E. vont intrinsèquement modifier l’algorithme de la boule de cristal.
Donc ayons le bon sens d’attendre un peu.
Néanmoins il ne faut pas être aveugle et sourd pour ne pas s’apercevoir que la France peine à rester au contact de l’Allemagne.
Concernant le Royaume Uni, tout est possible, avec le Brexit gagner une place semble à notre portée si toutefois le coronavirus nous le permet.
Les Échos écrivaient même en décembre 2019 :
« A l’arrivée, si la France ne connaît pas de catastrophe géopolitique majeure, elle peut raisonnablement espérer maintenir sa place au sommet de la hiérarchie économique internationale, voire dans un scénario idéal, grignoter une petite place, en repassant devant le Royaume-Uni, grâce aux effets négatifs du Brexit sur ce dernier. Par contre, il paraît désormais peu vraisemblable que la France rattrape l’Allemagne »