merl1 Certains peuvent aider par différents moyens qui ne sont pas que médicamenteux et selon la "pathologie" ou le "trouble" lâcher la bride. Genre suivi en libéral, centre de jour quelques heures par semaine etc....
Oui, je critique mais dernièrement j'ai fait un acte limite condamnable par la loi si on avait porté plainte. Ne pouvant gérer les éventuelles conséquences, je suis allé direct au CPOA (centre d'orientation psychiatrique) pour me faire interner. Là, après une longue attente, ils ont décidé de me renvoyer chez moi considérant l'inutilité d'une hospitalisation. Sinon, on me laisse quand même relativement libre depuis 5 ans maintenant, date à laquelle remonte ma dernière hospitalisation. Ils me proposent effectivement des acctivités thérapeutiques au centre de jour, une psychothérapie ... Il faut d'ailleurs maintenant que je me renseigne sur les GEM. Mais il faut savoir que ma famille m'ayant interné (à 2 reprises) je ne suis pas aidé d'un poil par eux, sauf par obligation. C'est dur de pas avoir de soutien. Tout faire par soi-même pour s'en sortir, et comme on est diminué avec les traitements, c'est surhumain.