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filochard J'en ai oublié ?
Je crois qu'il il y a une chose qu'il ne fait pas perdre de vue dans l'immigration. S'il est vrai qu'elle a été planifiée pour partie (exemple, toutes les mesures du regroupement familial, l'usage du droit du sol...) pour une autre partie elle est subie.
L'immigration n'est pas qu'un appel de gens d'ailleurs qui y répondent, ce sont aussi des gens qui s'infiltrent dans le monde occidental parce qu'ils l'ont voulu et qu'ils sont, en gros, attirés par la lumière.
Ce que font les élites face à cela, c'est organiser et normaliser le déferlement migratoire par simple constatation passive de son déroulement. Les clandestins, on les nomme des réfugiés. Aux sans papiers, on donne des papiers de personnes qui sont dans un processus d'obtention de papiers. A la population qui s'inquiète, on établit des interdictions de statistiques et on formate pour les esprits meubles une notion de racisme qui détourne de la constatation d'une invasion territoriale.
Réagir vis à vis de l'immigration, c'est se mouiller dans des décisions humainement difficiles. C'est renvoyer des gens chez eux, c'est déplaire aux pays d'origine qui ne sont pas habitués à ça, c'est en pratique attraper des gens pas contents du tout par le col et les maîtriser jusqu'à ce qu'il soient déposés là d'où ils viennent.
Mais comme je le disais, nos gouvernants énarques et carriéristes ne sont pas disposés à vivre ce genre de responsabilités. Ils préfèrent rentrer le soir chez eux sereins et comme tu le dis dans le n°1, se faire un petit gargarisme de bonté au quotidien.