Indigéniste, racialiste, féministe... sont des mots alambiqués sortis du dictionnaire qu'il m'est difficile de cerner.
Car finalement c'est quoi leur problème à tout ces gens ?
Mais avec Diallo comme avec d'autres, je vois qu'il émerge maintenant des personnes dont le fonds de commerce est de mettre leur couleur de peau et leur sexe en plein débat à chaque fois qu'elles s'expriment.
Il s'agit donc finalement des actuels et futurs véritables racistes de notre société, dument autorisés à faire la promotion de leur races, de leurs religions, de leur genre et de leur communautés sur les plateaux télé.
Quel magnifique tour de passe passe que cette victimisation permanente, qui permet de s'affranchir avec toute la bienséance possible, de la morale voulue par l'égalité républicaine.