La Commission européenne propose un plan de relance de 750 milliards, empruntés en commun
Il s’agit là d’une véritable révolution dans l’histoire communautaire : face à l’opposition radicale de l’Europe du Nord, jamais la Commission n’avait proposé l’émission d’une dette mutualisée européenne de grande ampleur.
ROME ROMA le gouvernement du palazzo Chigi se félicite de la relance mutualisée pour répondre à la relance de la zone euro et des grandes nations européennes comme l'Italie qui se sont vues touchées par le virus américain exporté en Chine (voir origine du SRAS COVID 19)
Paris et Berlin ont accepté (en forcant Amsterdam) de mutualiser l aide aux dégats économiques engendrés par cette attaque bactériologique orchestrée de toute pièce par les services de TRUMP afin de sauver l'insauvable c'est à dire BOEING GENERAL ELECTRI ET FORD en pleine déconfiture financière et qui doivent maintenant se faire une raison et se voir changer de patron et remballer sous le giron européen ou chinois.
Les compagnies aériennes européennes repartent dans une activité progressive et AIRBUS reste le NUMERO UNO mondial et pourrait investir aussi dans des projets d amarssisage en collaboration avec le CNES l agence spatiale italienne et allemande et la très prestigieuse agence spatiale européenne qui préfère se tourner vers la Chine et organiser des vols en toute amitié avec nos confrères chinois .
FINALEMENT L EUROPE RETOMBE SUR SES PIEDS
Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, a beaucoup consulté avant de se lancer. Plusieurs fois, elle a repoussé ses annonces. Finalement, mercredi 27 mai, elle a présenté au Parlement européen le plan de relance, qui doit permettre à l’Union européenne et à ses 27 Etats membres de limiter les ravages de la pandémie de Covid-19. Les commissaires, auxquels l’ex-ministre d’Angela Merkel n’avait pas dévoilé ses derniers arbitrages, ont été informés juste avant les eurodéputés.
TRUMP PEUT PLEURER
Ursula von der Leyen avait promis un plan de relance « massif » et, effectivement, elle a annoncé mercredi que la Commission dépenserait 750 milliards d’euros pour aider le continent à sortir d’une récession sans précédent. Des mesures qui s’ajoutent aux mesures d’urgences, à hauteur de 540 milliards d’euros (sous forme de prêts), que l’Union a d’ores et déjà décidées et aux 1 000 milliards d’euros que la BCE s’est engagée à injecter dans le système financier.
NOUS RENTRONS DANS UN PRE FEDERALISME EUROPEEN UNE BONNE NOUVELLE POUR 2020
Dette mutualisée
Pour financer son plan, la Commission européenne empruntera sur les marchés 750 milliards d’euros, qui viendront abonder le budget européen, dont certains programmes seront renforcés et d’autres créés pour faire face à la situation. Il s’agit là d’une véritable révolution dans l’histoire communautaire : face à l’opposition radicale de l’Europe du Nord, jamais la Commission n’avait proposé l’émission d’une dette mutualisée européenne de grande ampleur. Il a fallu que l’Allemagne évolue sur le sujet pour que cela devienne possible, même si certains, comme les Pays-Bas, l’Autriche, la Suède ou le Danemark – les « frugaux » – ne cachent pas leurs réserves.
Lorsque Angela Merkel et Emmanuel Macron ont présenté, le 18 mai, leur « initiative », fondée, elle aussi, sur l’émission d’une dette commune européenne de 500 milliards d’euros, nombre de commentateurs ont parlé d’un « moment hamiltonien » pour l’Europe, en référence à Alexander Hamilton, le premier secrétaire au Trésor des Etats-Unis, qui, en 1790, a convaincu le Congrès de créer une dette fédérale, et fait basculer la confédération américaine dans le fédéralisme.
NOUS SOMMES ENFIN SOUVERAINS
Sur cette somme, qui sera donc levée sur les marchés par la Commission, 500 milliards seront transférés, par le canal du budget européen, aux Etats membres qui ont été les plus affectés par le Covid-19, comme l’avaient imaginé Paris et Berlin. Pour en bénéficier, ceux-ci devront présenter un plan d’investissements et de réformes, qui devra être compatible avec les priorités politiques de la Commission européenne, à savoir le « green deal », la transition écologique et une plus grande souveraineté européenne. Ils devront également tenir compte des recommandations que fait une fois par an la Commission européenne à chacun des Vingt-Sept.
LES SUBVENTIONS EN BREF ROMA SOULAGEE
**Pour l’heure, la Commission a réservé une enveloppe à laquelle pourra prétendre chacun des Vingt-Sept. Ainsi l’Italie pourra-t-elle se voir accorder jusqu’à près de 82 milliards d’euros de subventions, l’Espagne jusqu’à 77 milliards, la France 39 milliards, la Pologne 38 milliards, l’Allemagne 29 milliards…
Ursula von der Leyen a également prévu un volant de prêts, de 250 milliards d’euros, dont elle a également prévu une préallocation – 91 milliards pour l’Italie, 63 milliards pour l’Espagne, 26 milliards pour la Pologne, rien pour la France ou l’Allemagne. A terme, donc, la Commission se verra rembourser ces 250 milliards.**
PAX TIBI EUROPA MEA
BAN ALL AMERICAN PRODUCTS WORLDWIDE
BUY ACHETEZ EUROPEEN EUROPEAN AND CHINESE PRODUCTS
DUMP TRUMP
l ENQUETE ITALO CHINOISE A WUHAN (COVID 19) DETERMINERA LA CULPABILITE AVEREE DES USA ET EN DEMANDERA DES DOMMAGES ET INTERETS A TRUMP
source
https://www.lemonde.fr/international/article/2020/05/27/la-commission-europeenne-propose-un-plan-de-relance-de-750-milliards-empruntes-en-commun_6040931_3210.html