SOS Racisme, dans un communiqué, a "apporté son soutien (...) à l'analyse" de la chanteuse. "Nous regrettons que le ministre de l'Intérieur, en s'agrippant à l'emploi du terme +massacrer+, ait cru utile de condamner les propos de Camélia Jordana", déclare-t-il.