En pleine pandémie, le géant américain vacille et son système est sous le feu des critiques. Un système fondé sur un idéal : l'American Dream. Une vision de la réussite individualiste et matérialiste qui serait accessible à tous. A condition de le vouloir. C'est le leitmotiv de Donald Trump.Cet American Dream, Martin Weill et ses équipes ont pu constater ses forces et ses faiblesses juste avant le début de la crise. De la Californie à la Floride en passant par le Texas, nous sommes allés à la rencontre de ceux qui ont réussi leur American Dream. Un immigré iranien devenu milliardaire. Un prophète du Bitcoin, millionnaire à moins de 30 ans. Le roi du pétrole, convaincu que l'or noir sauve le monde.Vous découvrirez aussi le revers de l'American Dream. Cette Amérique où les inégalités n'ont jamais été aussi fortes, les services publics si défaillants. A tel point que beaucoup, dans la classe moyenne, n'ont plus les moyens de se soigner. Aujourd'hui plus que jamais une question se pose : serait-ce la fin du rêve américain ?
source
https://www.tf1.fr/tmc/martin-weill/videos/covid-19-la-fin-de-lamerican-dream-13111960.html
Le jour même de l’élection de Donald Trump à la tête des États-Unis, le jeune et talentueux réalisateur sud-américain Ale Damiani publiait sur Vimeo et les réseaux sociaux un court métrage : « M.A.M.O.N : Latinos vs. Donald Trump ». Un concentré d’humour noir et de stéréotypes mexicains, pied de nez génial à un président américain xénophobe. L’histoire est tragi-comique. Un chirurgien latino-américain s’apprête à réaliser une opération à cœur ouvert. Tout le monde l’attend mais il est expulsé et catapulté avec d’autres compatriotes… en plein désert à la frontière mexicaine. Ils se retrouvent face à un mur de béton et à un Donald Trump immense robot de métal, ricanant et tout-puissant, qui avance en les piétinant. Tous se révoltent et font appel aux éléments de la culture populaire afin de les sauver de la débâcle. Un mariachi, un ovni incarnation hybride de la Vierge de Guadalupe et du Dieu aztèque Quetzalcoatl, un diplomate affublé du masque de lutteur (le sport le plus populaire au Mexique) et… un simple coq à la crête bien rouge auront raison du démoniaque Trump.
source
https://www.la-croix.com/Journal/Vers-fin-reve-americain-2017-07-21-1100864417