Le Figaro comme les autres sont complices de la chienlit gauchiste. Ils ne sont pas allés cherche le vif émoi d'approbation de la garde à vue, mais celui de la désaprobation.
Et pourtant dans ce journal, pour chaque affaire de ce genre, les commentaires de lecteurs teintés de fermeté sont innombrables et très largement majoritaires.
Pendant ce temps c'est l'ordre public, celui qui doit se trouver dans l'espace public, qui est en chute libre.