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La priorité de celui que nous surnommons Choupinet, et de sa bande, est surtout de museler toute critique de l’islam, et de l’invasion migratoire. Le silence assourdissant de ce gouvernement qui a suivi les déferlement de haine contre la jeune Mila est la terrible démonstration que ce régime lèche les babouches musulmanes, en espérant acheter la paix sociale, à coups de milliards de subvention. On est loin de l’esprit de Voltaire, on est dans l’acceptation, voire l’encouragement, de la charia, et de ses principes liberticides. On ne peut pas comprendre autrement l’acharnement judiciaire – et nous en savons quelque chose – qui touche tous ceux qui, avec d’autres mots que Mila, mènent le combat contre l’islamisation de notre pays.
Hollande, dans son livre « Un président ne devrait pas dire ça », prévoyait la partition de la France, entre les musulmans et les Français. Gérard Collomb, avant de quitter la place Beauvau, prévoyait un affrontement dans les cinq ans, entre ceux qui, de côte à côte, allaient se retrouver face à face. Aujourd’hui, Macron annonce carrément qu’il y a en France un islam séparatisme, mais ne fait absolument rien pour y mettre fin. Au contraire, il donne l’impression d’en accélérer le mécanisme, en faisant venir toujours plus de soldats d’Allah sur notre sol. Comme le disait Josiane Filio, c’est de la haute trahison, et le blogueur Islamator paraissait avoir quelques idées, avec les mêmes méthodes que Saint-Just, pour traiter ce genre de comportement.
