QUI CROIT A CETTE SOLUTION ONUSIENNE qui n'a plus de crédibilité et manipulée par les USA
FIN DE L ONU UNE BONNE AFFAIRE POUR L UE ET LA FRANCE L ITALIE ET L ALLEMAGNE
À Berlin, ce 19 janvier, ce sont les dirigeants des principaux pays impliqués dans le conflit qui déchire la Libye qui se sont retrouvés. Le but de ce sommet sous l'égide de l'ONU est de mettre fin aux ingérences étrangères multiples dans cet État où les affrontements se nourrissent d'appétits autour de ses importantes réserves de pétrole, de rivalités politiques régionales et de jeux d'influence. Un engagement à respecter l'embargo sur les livraisons d'armes, décrété en 2011 mais largement resté lettre morte, est en particulier attendu, selon le projet d'accord final vu par l'AFP. Un appel à un arrêt « total » et durable des hostilités sur le terrain doit aussi être lancé, tandis que le débat sur l'éventuel envoi sur place d'une force internationale pour en vérifier la réalité gagne du terrain.
L ITALIE JOUE UN ROLE CLE EN LYBIE ROME dicte le la dans ses jardins MARE NOSTRUM et dans son ancienne colonie
Un sommet important pour le futur libyen
« Nous considérons le sommet de Berlin comme une étape importante pour consolider le cessez-le-feu et aller vers une solution politique », a déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan, un acteur clé du conflit, à son départ d'Istanbul. « La conférence peut être un premier pas pour la paix en Libye », a pour sa part jugé le ministre allemand des Affaires étrangères Heiko Maas, l'hôte du sommet, dans un entretien paru dimanche dans le quotidien Bild. Entre la récente arrivée sur le terrain de militaires turcs, la présence soupçonnée de mercenaires russes et l'afflux continu d'armes livrées par plusieurs États, la communauté internationale craint de voir le conflit dégénérer dans ce pays plongé dans le chaos depuis 2011. « Il s'agit d'un conflit régional qui s'étend et qui ressemble de plus en plus à (celui qui ravage) la Syrie », a estimé samedi soir un haut responsable du département d'État américain sous le couvert de l'anonymat. Les deux principaux protagonistes de la crise en Libye, Fayez el-Sarraj, le chef du Gouvernement d'union nationale (GNA) reconnu par l'ONU, et Khalifa Haftar, l'homme fort de l'Est libyen, seront présents dans la capitale allemande. Mais ils ne devraient pas siéger à la même table. Le premier est soutenu par la Turquie, cependant que le second l'est par la Russie. Les forces du maréchal Haftar ont paru vouloir envoyer un message à la conférence de Berlin en bloquant samedi les principaux terminaux pétroliers de l'est du territoire libyen.
Une manière pour elles de protester contre l'intervention turque. Les dirigeants russe et turc, qui jouent aujourd'hui un rôle central en Libye, retrouvent notamment dimanche les dirigeants égyptien, allemand, français, italien et allemand.
source
https://www.lepoint.fr/afrique/libye-ce-qu-il-faut-savoir-de-la-conference-de-berlin-19-01-2020-2358547_3826.php
pax tibi europa mea
Les dirigeants des principaux pays concernés par le conflit en Libye se sont engagés, dimanche 19 janvier, à respecter l'embargo sur les armes décidé en 2011 par les Nations unies, a annoncé Angela Merkel à l'issue d'un sommet à Berlin.
LES USA EXCLUT DE LYBIE LAISSES DANS LEUR TWEET BIDONS ET NIAISEUX TRUMP ISOLE
QUI CROIT ENCORE AUX NATIONS UNIES LE PERE NOEL
LES USA PREMIER SABOTEUR DANS LES INSTITUTIONS INTERNATIONALES
TOUTE LA PLANETE ATTEND LA DESTITUTION DE TRUMP