Quoiqu'il en soit je me permets d'insister sur l'immense oppoturnité que représente aujourd'hui l'euthanasie pour sortir des différentes crises que sont déficits, manque de place dans les ehpad, dans les hôpitaux psy, les hôpitaux normaux, ainsi que dans l'univers carcéral qui est, comme chacun le sait, particulièrement surchargé.
Car justement concernant les prisons il ne serait pas difficile de cesser de perdre son temps vis à vis de certains détenus en leur promettant qu'il vont pouvoir se ré-insérer dans la société, en agissant au contraire savamment afin qu'ils voient la vérité en face et qu'ils constatent qu'ils sont pour ainsi dire, complètement foutus.
Dans cette situation si chaque matin l'infirmier qui distribue les calmants propose aussi la pilule libératrice à des détenus chroniquement déprimés, c'est chose certaine que bien souvent l'instinct de survie mentionné plus haut cèdera le pas devant cette tentation.
Cette démarche valant aussi pour les autres établissements cités plus haut.
C'est donc au législateur d'agir, la volonté politique ne doit pas être un vain mot.