@liberté#4367611 C'est vrai.
Que doit-on faire ?
Se documenter et informer les milieux professionnels et le public de l'escroquerie intellectuelle. Ne pas se déliter dans ce qu'on ne sait pas mais se concentrer sur ce que l'on sait, et ne jamais se laisser faire par les élucubrations écologistes.
Le mouvement anti-voitures classiques, pro vélos, pro-constructions bois ne servent pas la diminution de CO2. Au contraire. C'est assez facile à prouver quand on a les bons chiffres et documents en main, plus quelques connaissances. les éoliennes sont une usine à gaz, demandent une infrastructure délirante jamais rentabilisée alors qu'elles demandent une entretien tout aussi démesuré (pour les versions marines c'est l'iceberg qui cache la forêt sous-marine de flotteurs, cables, cables électriques sous-marins puis enterrés sous le sol marin jusqu'aux installation terrestres sophistiquées gérant tous les incidents comme une décharge de foudre). Et les panneaux photovoltaïques pareil. Ces derniers profitent de la baisse du prix du pétrole, car il faut beaucoup d'énergie pour les fabriquer, de même que des terres rares polluantes et on ne sait pas recycler ces panneaux de façon économique et non polluante alors qu'ils ont une durée de vie limitée, sans oublier l'obligation d'une installation électrique complexe devant être entretenue et susceptible de tomber en panne. Ces panneaux ne rendront jamais l'énergie totale qu'il a fallu pour les concevoir et les recycler.
Des source valables d'énergie, non émettrices de CO2, sont : l'hydro-électricté (barrages), les éventuelles turbines sous-marines, la géothermie (qui peut aller très loin), le nucléaire (à condition d'adjoindre des surgénérateurs que la France a décidé "intelligemment" d'abandonner), et bien sûr l'éventuelle mise au point de réacteurs à fusion, le top du top de l'énergie à gogo (du "no limit" total). Mais, actuellement, l'énergie pas cher étant le pétrole, le gaz, et le charbon, le fait de l'utiliser en faisant fi des interdits climatologiques du GIEC, est un énorme avantage économique. La chance du nucléaire français, c'est qu'il est très amorti et que le parc est d'une technologie éprouvée et robuste.
Pour la construction, plutôt que le bois, en France, préférer la pierre, donc béton "bas carbone" c'est à dire dont le clinker est obtenu par chauffage à l'électricité (nucléaire/hydroélectrique en France), et idem pour les armatures acier, ou la brique toujours cuite par énergie électrique... et pour plaire aux écolos, prôner un véhicule hybride rechargeable ou électrique (en France car en Allemagne ou ailleurs les véhicules essence sont en fait moins émetteurs de CO2 que l'électricité principalement obtenue des hydrocarbures).
Et pour information un véhicule automobile essence moderne émet au km autant de CO2 (et gaz à effet de serre) que la marche à pied, si ce n'est pas moins (en tenant compte de la production de ce qu'on mange comme la viande de boeuf notamment dont les élevages intensifs produisent énormément de gaz à effet de serre pour une valeur nutritive en énergie négative). De plus un vélo, en pratique émet bien plus que les 1/3 théorique de CO2 au km du piéton (obtenu sur une voirie plate impeccable et sur un vélo de course), à cause des arrêts et redémarrages intempestifs (en ville), des problèmes de voirie dégradée (où le vélo ne passe pas où la voiture passe) et des contournements parfois nécessaires, et des cotes, et avec une capacité d'emport (courses) encore plus ridicule qu'un piéton et son caddie. Quand aux transports en commun, le problème majeur c'est qu'il faut rejoindre la station à pied et attendre, puis l'inverse à l'arrivée et parmi ceux-ci, le moins souple, le plus antique et dépassé : le tramway. Le tramway prend une bonne partie de la voirie et se la garde (site propre), coupe un voie littéralement en deux, ce qui gène principalement les piétons pour traverser. Par ailleurs une panne de ligne de tramway ou des travaux deviennent vite une catastrophe insoluble pour les transports. Le tramway, c'est donc le transport à éviter dans les villes. Il faut lui préférer le trolleybus moderne, en fait un autobus électrique avec un petite batterie, avec recharge par induction ou contact sur le parcours (aux arrêts dans les stations ou dans les tunnels), et bien sûr, le top, c'est le métro souterrain ou aérien.
Au niveau de l’urbanisme, les voiries en site propre, notamment dans les villes sont une hérésie anti-écologique car on diminue l'efficacité dans les déplacements, et on augmente les encombrements, avec une logique implacable qu'une transversale encombrée va couper la circulation même d'une voie parfaitement fluide autrement. La multiplications des voies propres sur une même voirie, rend pénible la traversée par le piéton et ajoute une possibilité d'engorgement et de blocage non seulement générale mais pour chacun de ces voies de site propre. Les carrefours rendus compliqués, ne protègent pas (ce qu'une voie propre étaient censée faire à l'origine), mais au contraire augmentent les risques d'accidents. Les méfaits de ce nouvel urbanisme viaire français sont très visibles sur Paris et impactent lourdement l'économie par ailleurs.
Ces vérités totalement vérifiables par des profanes qui ont un niveau bac en sciences, ne sont jamais dites alors qu'on subit une propagande permanente des inepties écologistes, reprises ensuite par tous les journalistes et politiques comme une tautologie irréfutable. Et en sont faites des lois et des règles professionnelles absurdes à respecter impérativement. Et ces contrevérités sont ensuite enseignées dès la maternelle jusqu'en second degré où pourtant le bagage qui devrait être enseigné devrait être suffisant pour pouvoir les réfuter. Mais comme dans les nouveaux programmes, on n'explique plus rien et qu'on fait apprendre par coeur des formules et des conclusion hâtives, il est difficile même pour un étudiant averti d'émerger de la masse d'abrutis qui ne savent que répéter les slogans qu'on leur fait avaler.