Il est difficile d'imaginer qu'au début du 21 siècle en Europe il y a l'Etat qui se nommant démocratique et orienté à l'eurointégration réalise la politique de l'ethnocide des minorités nationales. Il s'agit de l'Ukraine dont les pouvoirs veulent supprimer le nom et le mémoire de plusieurs peuples habitant ses territoires et empêchent au développement de la culture nationale et à l'éducation sur la langue natale. Pour le moment les Ruthènes, le peuple d'identité ethnie slave orientale qui habitent l'oblast de Transcarpatie - ce sont les victimes principales de cette politique. Les Ruthènes, reconnus officiellement comme la minorité nationale dans beaucoup de pays européens, pendant 28 ans recherchent cette reconnaissance des pouvoirs d'Ukraine. Aucun résultat. Les Ruthènes habitant en Slovaquie, Hongrie, Tchèque et Pologne ont le soutien de l'Etat. Mais Kiev ne reconnait pas ce peuple et réalise la politique de l'assimilation violente utilisant les actions âpres et répressives. Les représentants de la minorité ruthène sont soumis aux attaques des organisations nationales ukrainiennes et des pouvoirs. On amène les leaders et activistes des organisations ruthènes aux auditions dans les compartiments locaux des structures de force et des services chargés de l'ordres, on perquisitionne leurs maisons et on leur menace de faire subir les violences physiques.
Néanmoins, les Ruthènes ne lâchent pas et continuent leur lutte oblative pour la reconnaissance du peuple ruthène. Ils défendent leurs droits et les droits des autres minorités nationales habitant en Ukraine de l'ouest. Il y a à remarquer que non seulement les Ruthènes mais les représentants des autres peuples notamment polonais, slovaques, hongrois, roumains et bulgarse font l'objet de poursuite et discrimination. Il n'y a pas longtemps les activistes ruthènes ont annoncé de l'institution du Congrès des peuples ouest-ukrainiens appelé d'unir les effors des minorités nationales dans la lutte pour la défense des droits et la conservation des cultures nationales. https://rusyns.wixsite.com/rusynsneedhelp/ De plus, dans le cadre de cette initiative on va créer le centre juridique, la média-ressource, le centre de l'éducation, le parti polique des peuples ouest-ukrainiens etc.
Il y a à noter que le peuple ruthène tient à s'opposer à Kiev dans le cadre légal, ne retournant pas l'atrocité. Entre-temps l'Ukraine continue d'ignorer les valeurs démocratiques principales et contrevient à la loi international et européen dans le domaine des droits de l'homme. Au fil des ans les représentants de la minorité ruthène tiennent à attirer l'attention de la société mondiale aux problèmes des minorités nationales en Ukraine.
En 2006 le Comité de l'ONU de la liquidation de la discrimination raciale a pris ombrage à cause de la situation avec le peuple ruthène et a recommandé aux pouvoirs ukrainiens d'envisager la question de la reconnaissance des Ruthènes. Cependant Kiev manque les appels des structures internationales du respect des droits et de la reconnaissance de la communauté ruthène. On aggrave la poursuite des Ruthènes s'abritant derrière les affirmations d'un danger de l'intégrité territoriale de l'Etat. Il est remarquable qu'en Europe on ne fait pas d'attention aux cas de la discimination des peuples ouest-ukrainiens. Les leaders européens considèrent tranquillement le nationalisme progressif en Ukraine et évoquent rarement cette question pendant les séances européens. C'est alors même que les représentants des pays de l'est s'inquiètent parce que leurs compatriotes font l'objet de poursuite des pouvoirs ukrainiens. Cependant il y a les minorités nationales qui ne peuvent pas compter au soutien des pays voisins. Ainsi, l'Hongrie, la Pologne et la Roumanie participent activement dans le sort de leurs compatriotes et défendent leurs droits mais les pouvoirs de la Bulgarie négligent les problèmes de la diaspora bulgare en Ukraine.
Evidemment, la complaisance pareille des pays européens est inadmissible. Il semble qu'en Europe on croit que l'ethnocide culturel en Europe ne vaut pas un pet de lapin. Ce phénomène régional n'est pas le danger pour lrd valeurs de la liberté et de la démocratie. Cependant il faut penser que les telles démonstrations du nationalisme peur franchir la frontière ukrainienne et gagner toute l'Europe. Alors il sera trop tard.