[supprimé]
Tu as raison, ce n’est pas à toi de trancher. Mais la justice a déjà tranché deux fois. En mettant Darmanin hors de cause. Principalement parce que la première fois que cette affaire est apparue, il a été constaté que durant deux ans la plaignante prétendant que Darmanin l’avait violée, lui a envoyé une tapée de mails, retrouvés par la police. Mails dans lesquels, alors qu’elle avait déjà eu, volontairement, des relations sexuelles avec lui, ce qu’elle et le ministre ont reconnu depuis le début, elle relance Darmanin. Et lui reproche de ne pas assez s’occuper d’elle sur le plan « personnel », de’ ne plus venir la voir, et qu’elle l’attend.
Il y a eu deux fois un non-lieu au bénéfice de Darmanin. Et si l’affaire est relancée, ce n’est pas à cause du fond, mais de la forme, d’un défaut de procédure. Ce qui ne change strictement rien au fond de l’affaire. Il s’agissait de relations sexuelles volontaires entre adultes consentants, sans aucun contexte de viol que ce soit.
Mais Darmanin est devenu ministre, et elle a tenté de le faire chanter. Ce qu’elle avait déjà fait, et été condamnée pour cela par la justice, avec un autre homme. Si des « féministes » tentent maintenant de lui pourrir l’été, c’est pour des raisons de basse politique et de la nécessité éprouvée par certaines des féministes qui mènent ce cirque, d’agir contre Macron.
Je n’éprouve aucune sympathie pour Macron ni aucun de ses ministres, à l’exception du ministre de l’Éducation nationale, seule personnalité intéressante et hors du commun politique de ce gouvernement.
Mais ce cinéma lamentable organisé, cette chasse aux sorcières contre une personne dont l’attitude n’a jamais été anormale dans cette histoire, par des femmes qui veulent se présenter comme l’incarnation de la bonne conscience de la société, en sachant très bien que c’est un prétexte bidon, et pour de simples questions de basse politique inavouée, est indigne.