Et la "populiste" monte d'un cran...?

4 mois plus tard

les parisiens festoyaient dans des cafés et restaurants encore bondés , la veille du 1er tour des élections, soit l'avant veille du confinement obligatoire pour tous .
Totalement insouciants, aucun n'imaginaient la catastrophe sanitaire qui leur tombe dessus aujourd'hui " c'est bon pour les mangeurs de chauve souris et les mangeurs de macaronis, plaisantaient ils..................les mêmes qui exigeaient la disparition du glyphosate,, pour soit disant se protéger d'un cancer possible dans 15 ou 30 ans refusaient de rentrer chez eux , pour se protéger d'un virus qui allait les surprendre dans 15 ou 30 jours .
" encore un dernier verre, monsieur le bourreau , chantaient ils tous en choeur "

    • [supprimé]

    agri-info-intox " encore un dernier verre, monsieur le bourreau , chantaient ils tous en choeur "

    L'arroseur arrosé c'est un grand classique.

    katou 79 % considèrent qu’il ne sait pas où il va.

    Les 21% ce doit être sa clique.

      cris Il y a déjà les 10% d'analphabètes qui ne comprennent pas la question! Il reste les 11% qui l'ont toujours soutenu.

        agri-info-intox
        Totalement faux. Ils promenaient leurs bambins dans les parcs où ils s'amusaient ensemble le jour du premier tour !
        On était les seuls masqués avec ma famille, à voter (en fait j'en ai vu un autre au loin).

        A chaque président sa crise majeure.

        Sarko celle de 2008, flamby les attentats, macron le corona.

        Sarko a été l'un des leaders de l'OCDE, à l'initiative de plusieurs G8, a sommé les banquiers de lâcher la plus grosse partie des dettes grecques, et nous a ainsi évité une catastrophe.

        Flamby a passé son temps dans les cortèges funéraires, à déclamer des oraisons funèbre piquées à d'autres, et a flanché sur la déchéance de nationalité.

        Zupiter se cale sur les mesures de ses voisins avec une semaine de retard, et nous explique par la voix de son porte-parole qu'on n'a besoin ni de masques ni de dépistages.

        On a les présidents qu'on mérite.